On peut trouver de mauvais goût l'affiche de la ville de Béziers destinée à interpeller la population sur l'absence du TGV, mais de là à attaquer la ville en justice, il y a un cap, que la justice a estimé infondé:
Face à Robert Ménard, les associations se ridiculisent
6 commentaires
Publier une réponse
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
lavandin
il est aussi consternant qu’une ministre interviennent lors d’une séance à l’assemblée nationale, pour déclarer qu’elle saisit la justice pour cette affiche
Citoyen de France
Mais nom d’un chien, qu’il est bon ce garçon. Et entier avec ça.
Bravo monsieur Ménard, chapeau bas.
Et quand à la Rossignol, laissons la chanter….
ohlala
70 millions d’euros inutile, qu’il est facile de dépenser l’argent du contribuable!
patphil
l’affiche est vraiment ridicule!
ménard devrait réfléchir lorsqu’il s’occupe de communication, il le fait bien avec brio quand il s’agit de politique!
quant à la réaction des zélites, elle était prévisible, l’argent du contribuable est fait pour être dépensé
vaucenay
@ patphil
L’affiche est peut-être “vraiment ridicule”, mais ce qui est ridicule à mes yeux, c’est qu’il faut être provocateur et/ou scandaleux pour être entendu et qu’on “parle de vous”. Triste, mais c’est comme cela. Comme j’aime à le dire “le scandale, forme moderne du coup de pied au c..”).
En l’occurrence, les plus ridicules, à mon avis, sont ceux qui se sont “émus” au plus haut niveau et sont vraiment grotesques. Malheureusement le “grotesque” ne les empêche pas de conserver leur poste grassement payé.
Meltoisan
Mais qui a dit que l’histoire finissait mal ? On avait plus d’humour … avant Charlie et les tristes hères d’aujourd’hui ! Merci Ménard …car on en a tellement marre des bien-pensants qui voient la paille de l’autre et ignorent leur poutre…
——————————
« Mais moi j’en avais tellement marre
J’ai repris la première chaîne
Et devant mes yeux, mes yeux hagards
Se déroulait la même scène
Et Jojo, Jojo le Bouffi
Dans un sac fourrait Suzy
Disant :
“Donne-moi ton ranch, eh, boudin !
Ou j’vais t’balancer sous l’train”
Puis il l’empoigna
– Et alors ?
Ben il la ficela
– Et alors ?
Sur les rails il la fit rouler
– Et alors ?
Ben le train arrivait, les copains !
– Et alors ? Et alors ?
Eh, eh, Zorro est arrivé
Sans s’presser
Le grand Zorro, le beau Zorro
Avec son cheval et son grand chapeau
Ah ! Ah ! Sacré Zorro, va !
Ah ah ah ah ! »
Henri Salvador – 1964