Plutôt que de prendre en compte les inquiétudes exprimées par les Bonnets Rouges, les syndicats jouent la carte de l'opposition à la menace "populiste".
Laurent Berger et Thierry Lepaon ont invité l'ensemble des syndicats (FO, CFTC, CFE-CGC, Unsa, Solidaires et FSU) à se réunir le 25 novembre au siège de la CFDT «échanger sur les moyens de remédier» à la «gravité de la situation». Les contacts s'étaient multipliés la semaine dernière entre les numéros un des grands syndicats pour contrer les mouvements anti-impôts, notamment celui des Bonnets rouges, qu'ils jugent «populistes».
Parallèlement, FO a appelé à un grand meeting national le 29 janvier 2014, date choisie par la CGT, la FSU et Solidaires pour une mobilisation contre l'extrême droite.
Stephe
Plus aucun français ne fait confiance aux syndicats qui ne sont que des roues de secours du pouvoir et ne servent qu’à canaliser les mécontentements et à faire accepter les licenciements contre trois sous. C’est pourquoi les coordinations ont de beaux jours devant elles et que le risque insurrectionnel si la misère s’aggrave n’est pas à écarter. En attendant le pouvoir et les syndicats complices verrouillent encore un peu plus le système de moins en moins “démocratique” en envisageant carrément la suppression du vote citoyen aux élections prud’homales, désormais ils feraient leur petite soupe ensemble dans un coin de bureau ministériel. Elle est pas belle la France? ils n’ont pas besoin du peuple et nous le font savoir.
david
Mesdames et messieurs les bonnets rouges, vous seriez bien avisés de passer par la mafia syndicale et ne pas déterminer par vous-mêmes ce contre quoi il faut lutter. Attention à ne pas rechercher la justice et le progrès qui sont des propriétés privées de la gauche ! La “justice”, celle de Taubira, dont le nom est un contresens, et le “progrès” qui consiste seulement à avancer de catastrophe en catastrophe. Les syndicats souhaitent poursuivre dans la direction du déclin pour tous.
toto
à Stephe et David
Excellente analyse! Quand les Français boycotteront à 100 % les syndicats qui ne défendent que leurs propres intérêts de petits gauchistes embourgeoisés et vendus, les choses changeront.
La représentativité est tellement faible que Sarko avait essayé de les sauver en montant une “réorganisation” usine à gaz destinée à couler les petits syndicats professionnels pour favoriser les truands de la CFDT et CGT. Ce qui revient à instituer un monopole avec syndicats obligatoires (comme en ex-URSS)
Charles-Henri
Le syndicats sont en train d’achever de se discréditer aux yeux des Français, et ce, au grand jour.
Le mur de Berlin finira bien par tomber en France.
Maurice
Les bonnets rouges adverse sont appelés – les benêts rouges – ! Ils ne se rendent ^pas compte que se sont leur emploi qui sont en cause, d’ailleurs je viens d’entendre qu’une société de transport importante met la clé sous la porte.
les syndicats devraient relire l’histoire, surtout ce qu’il c’est passé en 68 lorsque Georges Séguy est venu présenter aux ouvriers de Renault les accords qu’il venait de conclure, il s’est fait envoyé péter ! Les ouvriers n’en ont pas voulu !
Se gouvernement s’accroche à ce qu’il pense avoir de l’autorité, mais quelle autorité peu avoir des syndicats qui représentent 8 % des travailleurs (surtout fonctionnaires) ? Souvenons-nous de Goodyear et autres entreprises où se sont les ouvriers qui se sont dépatouiller seul. Là, gros mou et compagnie ne savent pas où il faut tourner la tête, s’ils avaient un peu de culture ils diraient :
« Un cheval ! Mon royaume pour un cheval ! » Richard III (Shakespeare)
Et partiraient très loin, ors de notre vu ! (sait-on jamais)
Mais voilà, cette fine équipe en est bien loin.
jejomau
le pouvoir est un pouvoir SOCIALISTE. Toute l’activité économique est en train de s’effondrer comme à chaque fois que le socialisme est arrivé au pouvoir. L’agriculture est la première activité attaquée : la France, grenier à blé et riche, est en train de tout perdre. Les transports licencient à tour de bras : permettant aux étrangers de s’implanter et de racheter nos entreprises !
Hollande, président du Parti de l’Etranger, est en train d’affamer le peuple de France ..
René Clémenti
Les dirigeants des syndicats ne représentent qu’eux-mêmes, comme les députés!
Carlos
Il est surtout étonnant de voir ces syndicats encourager l’état à privatiser la collecte des impôts ! Et par qui ? Par une société étrangère ! Et qui retrouve-t-on parmi les actionnaires de celle-ci ? Goldman Sachs !
Ceux qui sont syndiqués dans la fonction publique peuvent voir de leurs yeux la trahison de leurs chefs syndicaux ! Comme ils ne s’opposent pas à cette première privatisation, d’autres suivront ! Quand on veut démolir un état pour qu’il ne puisse plus réagir, on s’en prend à sa monnaie, son armée, à ses entreprises publiques en les vendant à l’étranger et à sa jeunesse. En la pervertissant, elle ne fait plus d’enfants. Le pays devient mûr pour être asservi par d’autres.
L’UMPS et les médias alignés ne vont bien entendu pas en parler. A chacun d’en tirer les conséquences !
saint-Plaix
Eternelle angoisse des gouvernants: que le peuple soit capable de mener des revendications et de prendre son destin en main!
Rien n’est pire pour eux que de se faire déborder par les masses populaires!
Le rôle des syndicats reconnus(de gôche – pléonasme) a toujours de canaliser et d’encadrer soigneusement le mécontentement populaire…
A chaque fois on observe alors le travail de “reprise en main” des mouvements revendicatifs par la puissance syndicale.
Les mouvements récalcitrants sont évidemment minimisés, déconsidérés, et taxés de fascistes…avant parfois même d’être sabotés par les milices syndicales…
Les “bonnets rouges” aujourd’hui en font les frais: rien de nouveau là!
Si ce n’est que certains naïfs vont découvrir que les syndicats français,d’abord politiques, ne défendent absolument pas les intérêts des “travailleurs” mais ceux des régimes qui les confortent dans leur tyrannie.
Verrons-nous bientôt les milices CGTistes se lancer “à l’assaut des barricades” des bonnets rouges?
Pas impossible!
On a déjà vu des choses analogues!
clau
C’est certain, ils ne luttent pas pour la France, au sens large du terme , mais pour leur intérêts particuliers qu’ils ont mis en place depuis 1944 avec Degaulle et les communistes et qu’ils n’ont fait que renforcer depuis lors , quatrième et cinquième république comprise, d’ailleurs , en 68 c’est Pomppidou qui a désamorcé la crise avec Eux après le célèbre grenelle
Cette fois-ci ils savent ou ils sentent le grand remue ménage qui se profile à l’horizon et ils ont une trouille bleue du grand chambardement qui arrivera tôt ou tard
Ils utiliseront tous les moyens , je dis bien tous les moyens, et une bête fauve blessée et acculée est hyper-dangereuse!
nemo
La révolte des bonnets rouges ?
un crime de lèse-syndicats
C.B.
“la «gravité de la situation»”
À comparer avec 1947.
Où Notre-Dame va-t-elle nous témoigner sa maternelle sollicitude?
amiral
Entendu a la télé dans une émission de discussion politique SIC la France va bien a part quels que aigris ?
senex
Les syndicats servaient de “courroie de transmission “des Partis de gauche. Mais il n’y a plus rien à transmettre…”Panica generale” comme on dit en Italie….
senex
Une starlette ne bouffe pas, pour garder la ligne..Un responsable syndical “garde la ligne”,… pour bouffer…
Bertrand
Ils ne veulent pas perdre leurs chateaux
F.A
Les syndicats n’ont jamais défendu les travailleurs .
Ils sont savament les officines des esclavagistes que sont devenu la plus part des patrons Français mondialistes et immigrationnistes …, …, …, … … …
Alors quand le réel et les vérités les rattrappent ils crient au loup ! au “populisme” … … …
Combien d’adhérents dans les syndicats ??? ??? ???
Karv
il suffit d’ouvrir “le Télégramme” pour comprendre que, soutenues par les medias, les syndicats et les marxistes indécrottables, notamment les pseudo-historiens, nous jouent l’air de la division et de la lutte des classes.
On a déjà donné.
ils n’ont pas compris que que les temps ont changé et que les théories marxistes sont une escroquerie.
Aujourd’hui, nous vivons une page historique de la résistance à la dictature de la bourgeoisie jacobine et parisienne, qu’elle se dise de gauche ou de droite.
Le collier par lequel elle nous tient en laisse est déjà très serré.
Ils veulent maintenant nous étrangler.
A ce titre, la résistance des “bonnets rouges” présente des points communs avec celle de 1675 où, toutes classes confondues, hors la noblesse, les finistériens et les rennais (après Bordeaux) ont tenu tête au roi qui venait de violer une fois de plus le traité d’union.
Antoine
On peut faire remarquer que les syndicats ne respectent pas le Code du travail puisque ceux – ci doivent seulement défendre les intérêts de leurs adhérents. Or, la politique est extérieure à l’activité du syndicat et qu’elle doit s’exprimer de manière personnelle. Les syndicats doivent donc respecter ce principe, sinon, ils sont hors – la – loi. On peut penser que ceux – cii refusent que les manifestations ne soient pas sous leur couleur.
esprit libre
Je doute de l’importance de cette petite agitation de microcosmes d’états-majors de syndicats installés… Et cela vient du syndicat du pouvoir, la CFDT, et de la CGT qui est travaillée par des minorités proches de Mélenchon, le vrai-faux socialiste…
Je pense plutôt à une commande du régime qui, rappelons-le, tient par l’argent et la notion de syndicats représentatifs les grandes centrales.
Et encore une preuve que le feu prend partout et que la panique gagne le régime.
Bon signe !
EROUANI
Les syndicats français ne finissent pas de mourir et sont maintenus en survie par les subsides publics, donc par l’argent des Françaises et Français, qui ne se reconnaissent plus en eux.
Les dirigeants des centrales syndicales étaient encore des habitués des médias au début des années 2000. Qui connaît encore leurs noms ?
La boucle de l’absurde est bouclée.
Il y a peu de risques à prendre en pariant que le 29 janvier la prétendue “manifestation contre l’extrême droite” réunira les habitués de ces numéros : syndicats ouvriers marxistes, SNI, SGEN, PS, Front de Gauche, Europe Ecologie, FSU, Ligue des Droits de l’Homme, LICRA, Ligue Communiste Révolutionnaire, Fédération Anarchiste, Syndicat de la Magistrature, CNAL, Fédération des Conseils de Parents d’Elèves,quelques chrétiens égarés, quelques ministres en mal de se montrer, divers groupuscules de défense des immigrés clandestins, j’en passe et des meilleurs.
Il faut leur reconnaître un point commun, c’est leur facilité de plus en plus grande à compter leurs adhérents, dont le nombre baisse tous les jours.
Ils peuvent avoir confiance dans le Ministère de l’Intérieur et les médias, qui grossiront le nombre de manifestants.
MagicBus
Les syndicats étant subventionnés par le gouvernement ,ce n’est pas pour agir contre le chomage et la mondialisme délocalisant ailleurs pour des salaires d’esclavagistes .
Les syndicats sont des pourris politiques comme les autres ,payés pour faire d’abord de la propâgande anti-fn ,antinationaliste,anti-francais de souche , et faire savoir que les syndicats autorisés et financés par le gouvernement pronent la préférence étrangère antiracisteuh pour arranger le gros patronat qui par ce prétexte font stagner et diminuer les salaires ,et jeter les travailleurs comme des kleenex usagés ….
Maye
Ce n’est pas si simple, vous savez. Les Bonnets rouges, pour ce qui est de Ch. Troadec -maire de Carhaix- et ses amis sont socialistes, marxistes, régionalistes et européistes… et ils ont récupéré sans vergogne un mouvement spontané d’ouvriers et de petites entreprises au départ (le patron et son camion souvent). Ils ont aussi récupéré les “Bonnets rouges” d’ailleurs. Alors ?
Entre deux mots choisir le moindre… Où est la balance ???