Selon le Renseignement territorial, la mouvance des Frères Musulmans est passée de 50 000 à 100 000 adeptes entre 2019 et aujourd’hui. En une décennie, la part des femmes musulmanes portant le voile islamique a augmenté de moitié, résultat d’une réislamisation culturelle « indiscutablement orchestrée ». Abaya, port du voile, jours fériés, menus hallal, heures de piscine, comportements à l’égard des femmes au travail : l’offensive est protéiforme. Les frères musulmans voudraient être hégémoniques sur la communauté musulmane.
Les Frères musulmans veulent instaurer un califat mondial, selon un acteur du renseignement cité dans le JDD.
L’Égypte, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis considère considère cette organisation comme « terroriste », l’Allemagne la définit comme contraire aux intérêts de la Constitution pour empêcher tout financement public, et l’Autriche l’a inscrite sur la liste noire des « groupes extrémistes liés à la criminalité à motivation religieuse ». Et en France ? En Conseil de défense, le président de la République a demandé un rapport sur l’état de la menace que représentent les Frères musulmans. L’entourage du ministre de l’Intérieur précise :
« Nous n’avons pas besoin de ce rapport pour comprendre ce qu’il se passe, nous le savons. Mais il est nécessaire pour convaincre la France, les institutions, les élus locaux et les décideurs. »
C’est plus facile de dissoudre les Identitaires… Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, qui dissout tous les quatre matins des associations de droite non violentes, précise qu’il ne pourrait pas interdire les Frères Musulmans « parce que c’est tout simplement impossible. Comme elle n’existe pas formellement, ceux qui évoquent ces solutions sont des jocrisses qui prennent les Français pour des idiots ».
Si l’organisation a des représentants, elle se transforme en nébuleuse et travaille à ne jamais se faire démasquer. En France, l’association Musulmans de France (autrefois UOIF) est considérée comme appartenant à la mouvance, mais son président Amar Lasfar déclarait en 2017 : « Nous ne faisons pas partie des Frères musulmans. En revanche, nous nous inscrivons dans leur courant de pensée. » Le fond de dotation de l’association musulmans de France, intitulé Al Wakf, avait été créé en juillet 2013 par l’UOIF et ce lien était clairement revendiqué dans son rapport d’activité en 2014. L’accusation de frérisme a poussé l’association à ne plus le mentionner. Plusieurs notes du renseignement insistent sur cette stratégie de « taqqyia », c’est-à-dire de dissimulation.
Cela ne nous explique donc pas pourquoi Darmanin ne pourrait pas dissoudre l’association Musulmans de France ou le fond de dotation cité.
La FEMYSO, forum des organisations européennes de jeunes et d’étudiants musulmans, nie toute appartenance frériste et se présente comme « une organisation européenne non-gouvernementale à but non lucratif qui œuvre à promouvoir la participation à une citoyenneté active auprès de la jeunesse musulmane européenne depuis 1996 ». Elle regroupe 33 organisations différentes. Qu’est-ce qui empêche là encore Darmanin de dissoudre la FEMYSO ?
Le président a demandé un rapport… qui sera sans doute classé verticalement en attendant la création d’une commission ou l’ouverture d’un numéro vert…
cadoudal
en fait Moussa sert Mahomet, via le Grand Orient.
toute son énergie est dirigée contre le vrai catholicisme , contre la vraie France.
voyez sa haine de CIVITAS et de la Contre Révolution.
Collapsus
Les élections approchant, Darmanor le chevalier blanc est de retour. Sus aux mahométans ! Ces derniers doivent être terrorisés, les pauvres.
Thibaud
Les Frères Musulmans ne sont pas des vrais musulmans d’après le Pape du Musulmanisme Gabriel Attal