Le Premier ministre grec, Georges Papandréou, a quasiment enterré son projet de référendum sur le plan européen de sauvetage de la Grèce, et accepté la formation d'un gouvernement de coalition. Il reste donc aux partis politiques grecs à s'accorder pour ratifier l'accord. L'opposition de droite a reconnu pour la première fois la nécessité d'accepter ce plan d'aide.
Face aux menaces, Georges Papandréou pourrait renoncer au référendum
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Olivier Saumur
C’était sans doute son objectif principal : obliger l’opposition à sortir de l’ambiguïté et soutenir clairement le douloureux train de réformes.
Pour moi, c’est assez bien joué.