Ce genre de récit n’est plus exceptionnel : la violence est gratuite, l’insécurité règne. C’est juste l’occasion de rappeler que l’on n’entend plus le ministre de l’intérieur. D’ailleurs, on n’entend plus de ministre du tout : on ne voit que le président : au Tchad, chez les pécheurs, aux Etats-Unis… Les impunités et autres "déjà connus des services de police" font partie du quotidien.