Un prêtre italien, accusé par une femme d'avoir abusé
d'elle lorsqu'elle était mineure, va être réintégré dans ses fonctions
après avoir été jugé innocent par le Vatican et son diocèse. Don Giorgio Carli, 48 ans, qui a toujours clamé son
innocence, avait été acquitté en première instance, puis condamné en
appel à sept ans et demi de prison. En 2009, la Cour de Cassation a jugé
les faits prescrits.
La Congrégation pour la Doctrine de la foi a examiné ce cas "en respectant
rigoureusement les règles canoniques" et a conclu à "l'acquittement" du
prêtre.
C.B.
Le titre de La Croix est beaucoup plus ambigu [que celui de SB], alors que le contenu ne permet qu’une interprétation de ce titre ambigu. Encore faut-il lire le contenu de l’article.
Sixtine
Combien de prêtres et de religieux sont accusés à tort de ce genre de délits ?
Rappelons que Mgr Di Falco a été accusé puis lavé de tout soupçon et acquitté…mais le mal est fait, la réputation est salie à jamais.
Aucun journal ,’avait, à l’époque, relaté que Mgr Di Falco était acquitté…
david
1Co 4:4 Ma conscience, il est vrai, ne me reproche rien, mais je n’en suis pas justifié pour autant ; mon juge, c’est le Seigneur.
Comme si j’étais à sa place, je ne vais pas “porter plainte ” contre ce prêtre, je préfère le Bon Dieu juger à sa place …puisque le jugement sera terrible !
on sait que nous sommes tous pécheurs ;il n’y en a pas un parmi nous qui ne mérite l’enfer
(Pr24,16 : Car le juste tombe sept fois et se relève, mais les méchants trébuchent dans l’adversité.
1Jn1,10 Si nous disons : ” Nous n’avons pas péché “, nous faisons de lui un menteur, et sa parole n’est pas en nous.)
et moi plus que personne.
il existe un châtiment sans miséricorde
(Jc 2,13 : Car le jugement est sans miséricorde pour qui n’a pas fait miséricorde ; mais la miséricorde se rit du jugement)
sans pitié, sans soulagement, sans mérite, sans bornes et sans fin.
Simon
Cette femme devrait méditer ce commandement divin:
“Tu ne témoigneras pas faussement contre ton prochain.” – Exode 20, 16
phiconvers
La cour de cassation n’a pas dit qu’il était innocent mais que les faits étaient prescrits, ce qui moralement ne revient pas tout à fait au même. J’espère que ce prêtre est innocent, parce que la seule prescription ne vaudrait certainement pas quitus et reprise d’une charge pastorale…