Quel que soit le résultat du référendum sur la Constitution européenne, une chose est déjà certaine : le Parti socialiste en ressortira divisé.
"Je suis un élu de la République. On ne m’a pas élu pour souffler, pour rester chez moi ou téléphoner toutes les cinq minutes à Solférino pour savoir ce que j’ai le droit de dire sans encourir les foudres de François Hollande", a expliqué le sénateur Mélenchon, partisan du non. Le bureau national du Parti socialiste va examiner mardi des sanctions contre le sénateur rebelle.
Et une bonne nouvelle peut en accompagner une autre…