Le groupe scolaire de Toulouse Al Badr, tirant son nom de la première victoire armée de Mahomet, qui attaqua une caravane de commerçants mecquois en 624, est une nouvelle fois dans le viseur de la police, son directeur pédagogique ayant été mis en garde à vue le 12 avril, dans le cadre d'une visite d’inspecteurs du travail et de policiers, peut-être de façon abusive (d'après le site salafiste Islam&Info), mais peut-être pas…
La direction de l'école explique sur sa page Facebook qu'il est normal que beaucoup de jeunes (musulmans) détestent la France, étant donné les "persécutions" qu'ils ont à subir.
Pour Joachim Véliocas, cette école n'aurait jamais dû avoir le droit d'ouvrir ses portes en France, étant donné ses orientations salafistes.
"Dans une conférences filmées sur l’engagement du musulman l’imâm Rahhaoui qui gère l’école rappelle l’existence de trois cas licites pour faire couler le sang d’un homme. Les spécialistes connaissent très bien le “hadith” auquel il fait allusion, qui autorise de tuer l’auteur d’adultère, le meurtrier et… l’apostat. (14 ème hadith rapporté par Nawâwi)
La musique y est apparemment interdite, on ne comprend donc pas comment ils peuvent respecter les programmes scolaires français :
Et l'apprentissage de l'arabe semble une priorité dans cette école :
On peut trouver l'école salafi Al Badr de Toulouse dans l'Annuaire en ligne des Ecoles indépendantes.