Foule debout place Vendôme
7 commentaires
Publier une réponse
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.
Thierry
Très beau reportage au 13h de J-P Pernault!
Jean Theis
Trop tard hélas !
jacky.a
@Jean Theis
“Trop tard hélas !”
OUI…
mais…la Pub…
c’est toujours bon!
codene
ces personnes sont admirables ; elles incarnent la résistance morale à la pensée unique qui a dépassé les bornes , la France commence à ressembler à une dictature ou on impose par décret la décadence
sussum cordam
codene
sursum cordam (sorry)
simone
Ils sont des centaines, ONLR.
Philippe
Aujourd’hui vers 17h15, ayant du temps, je me suis rendu sur la place Vendôme pour veiller avec les autres, je suis venu directement sur le trottoir devant le ministère de la justice et là, déçu parce que je ne voyais personne, je me suis quand même placé debout, à bonne distance de la porte mais regardant fixement le bâtiment.
Au bout de 10 minutes, j’ai eu affaire à un policier, portant un grade formé d’une barre rouge au centre d’une barre blanche plus longue. Il m’a repoussé poliment mais fermement au delà du périmètre des barrières. Sous quel motif ? Le “plan Vigipirate”, mais bien sûr…
J’ai longuement discuté avec lui pour lui montrer l’absurdité de ses arguments. Au départ la conversation était un peu énervée mais nous avons fini par discuter plus calmement. Ils ne savent rien au sujet de la GPA, il ne savent pas ce qui se passe en Ukraine et en Inde, ils ne savent pas non plus que des “fabriques à orphelins à vendre” ont été découvertes en Afrique. Ils ne savent pas que leur collègue arrêtent des innocents, ils ne savent pas que des provocateurs ont agit lors de la dernière grande manifestation. J’ai quitté un homme qui se posait beaucoup de question et qui, même s’il continuait à défendre sa fonction, ne semblait plus si fier de porter les couleurs de la “police aux ordres” de Gals et comparses.
En repartant je me suis rendu compte que les veilleurs debout étaient de l’autre côté de la place, je les ai encouragés par un salut amical en repartant.