Sept policiers ont été blessés et onze personnes interpellées à Nice lors d'incidents survenus en marge d'une manifestation contre l'intervention israélienne à Gaza. Des vitrines ont été brisées, des pierres ont été lancées sur la Promenade des Anglais.
A Paris, les vitrines d'un abribus et une cabine téléphonique ont été brisées, place de la Nation. Sur le parcours, plusieurs vitrines de magasins du boulevard Diderot ont été cassées peu avant 18H00, entraînant l'intervention des forces de l'ordre et en direction desquelles des bouteilles ont été lancées. 180 personnes ont été interpellées.
Addendum 11/01 : un lecteur m'informe qu'à Perpignan,2000 manifestants pro-palestiniens ont défilé dans les rues de la ville. La manifestation a dégénérée. Bilan: des vitrines de magasins en plein centre ont été brisée, des magasins pillés, une panique en pleine ville: des gens qui crient, hurlent, 6 interpellations.
Okapi T.
“10/01/2009 20h17 France > Gaza – 180 personnes interpellées en marge de la manifestation pro-palestinienne à Paris”
“10/01/2009 20h23 Monde > Gaza – Human Rights Watch accuse Israël de faire usage de phosphore blanc”
“10/01/2009 20h59 Monde > Gaza – L’armée israélienne dit avoir a tué plus de 550 combattants palestiniens”
Présenté dans cet ordre et à la suite, que doit-on en conclure ?
Réflexion à mi-chemin entre humour grinçant et amertume en songeant à l’avenir…
JLA
L’intégration,le métissage,le multiculturalisme fonctionnent à plein pot,Fadela va être contente et va obtenir encore des millions d’€uros.
michel
Qu’attend l’Etat pour couper les vivres à toutes ces associations semeuses de désordre, à moins que tout cela le serve…
tonio
2050, manuel d’histoire.
La guerre civile française, prélude à la désintégration de l’Union Européenne, qui selon les mythologies devait durer mille ans, débutât à la mi-janvier 2009. Curieusement l’évènement déclencheur n’eut pas lieu en Europe, mais au proche-orient.
Anonyme
A NICE La piétonne JEAN MÉDECIN transformée en champ de bataille par les casseurs lors de la manifestation pour Gaza
http://anonymouse.org/cgi-bin/anon-www_de.cgi/http://www.nicerendezvous.com/FR/NICE-JEAN-MEDECIN,-LA-PIETONNE-TRANSFORMEE-EN-CHAMP-DE-BATAILLE-n-4686.html
(voir les photos !)
(Nice Rendez-Vous) | SOCIETE | MANIFESTATION ÉMEUTE – L’ordre de dispersion aurait du être donné au kiosque à musique du Jardin Albert Ier mais la foule des 6000 personnes manifestant contre les bombardements israéliens sur Gaza continua jusqu’au manège où, arrêtée par un cordon de police, elle commença à s’infiltrer vers la place Masséna, passant par le jardin. La police, équipée anti-émeute, se mit alors en place pour bloquer le gros de la troupe mais avec l’aide du service d’ordre de la manifestation et grâce à un mouvement de diversion créé par la rue Desboutin, la foule la prit à revers et noya dans sa masse les forces de l’ordre.
Ainsi, à 15h15, ce qui ne devait pas se produire était lancé, la manifestation entrait sur l’esplanade Masséna avant de s’attaquer à la remontée de l’avenue Jean Médecin. Malgré les efforts de la police, qui heureusement garda tout son calme, les cordons furent deux fois débordés au goulet des Galeries Lafayette, par une centaine de jeunes qui débouchèrent au carrefour Jean Médecin, rues Masséna et Gioffredo.
free
Ils seraint bien bêtes de se priver, les “intouchables” couverts par le combat et la “puissance” des lobbies “anti-racisme” (soutenus par les politiques de gauche comme de droite).
M.Leclerc
« Précis d’Histoire de France » Hachette éd. 2045
Chap. XVIII: ORIGINES DE LA RÉPUBLIQUE ISLAMIQUE FRANCAISE
LES ORIGINES LOINTAINES
Les causes lointaines de l’instauration d’une république islamique sur le territoire de la France sont démographiques et politiques. Elles sont apparues pendant la deuxième moitié du XXème siécle.
Après le redressement de la natalité française de 1945 à 1975, celleci a brusquement fléchi pour passer au-dessous du seuil de remplacement des morts par des nouveau-nés ; au lieu d’agir contre le fatal vieillissement de la population autochtone, le pouvoir politique a au contraire pris des mesures qui l’ont aggravé (loi Veil, en 1975, par exemple).
Relativement faible jusque dans les années 1960, l’immigration s’est mise à croître tout particulièrement à partir de 1976 du fait de la loi sur le regroupement familial qui a transformé une immigration de travailleurs sans leurs familles en immigration de peuplement ; le « droit du sol », octroyant la nationalité française à toute personne née sur le sol français, a fait des descendants de ces immigrés systématiquement des citoyens français. A cette immigration légale, s’est ajoutée une immigration illégale quasiment tolérée par le Pouvoir. Ainsi, c’est par centaines de milliers que des étrangers sont venus s’installer sur le sol de la France chaque année, étrangers en grande partie issus d’Afrique du Nord et d’Afrique noire, pour beaucoup professant la religion musulmane.
Pour tuer dans l’oeuf, par peur d’une révolte ouverte, toute résistance à ce déferlement, le Pouvoir, relayé par les moyens de communication (radio, T.V., journaux), a mené une campagne tenace pour discréditer les opposants à sa politique immigrationniste, les accusant de “racisme” et étouffant ainsi tout sentiment national. II a fait voter des lois condamnant lourdement ceux qui exprimeraient trop clairement leur opinion anti-immigrationniste.
Ainsi, à l’aube du XXlème siècle, désarmée par son pouvoir politique, la France n’était plus capable de défendre son identité et se livrait sans défense à ses occupants.
LE PREMIER QUART DU XXlème SIECLE: L’OFFENSIVE ISLAMIQUE
Le début de l’offensive islamique dans le monde a été marqué par l’attaque des tours de World Trade Center à New-York le 11 septembre 2001. Cet événement sensationnel a été salué dans une grande partie de la jeunesse musulmane de France par un enthousiasme ouvertement affiché, accompagné de sentiments de haine pour son pays d’accueil. A partir de cette date, les revendications des musulmans se sont multipliées, mettant en difficulté le Pouvoir à qui le principe de laïcité interdisait de se mêler d’affaires religieuses. II crut trouver une solution en se fabriquant un interlocuteur sous la forme d’un Conseil de la religion musulmane en France mais, à son grand dépit, cet organe passa aux mains des islamistes, c’est-à-dire des plus durs de la religion musulmane. Dès lors, les relations entre le Pouvoir et les musulmans en France se transformèrent progressivement en rapports de force où la peur entretenue par le terrorisme des uns annihilait lentement la volonté de se défendre des autres.
La France, n’ayant pas participé à la guerre contre l’Irak en 2003, fut un temps épargnée, mais dès 2005 les islamistes commencèrent à mettre à exécution les menaces proférées par leurs chefs sur des radios du Moyen-Orient. Le métro parisien et l’aérodrome de Roissy furent des cibles parmi d’autres des kamikazes d’Allah.
Parallèlement à cette action terroriste, en contrepoint légal faisant
même mine de condamner la violence, un courant musulman s’inséra dans la vie politique du Pays avec ses propres structures, hors des partis existants, pour promouvoir à des postes de responsabilité ses représentants là où la composition de la population à forte dominante musulmane leur permettait de réussir. C’est ainsi qu’en 2015, de grandes villes comme Roubaix, Tourcoing, Saint-Etienne, Perpignan ou des Conseils généraux comme ceux de Seine-Saint-Denis, du Nord, du Pas-de-Calais passèrent aux mains de musulmans, sans compter de nombreuses autres localités de moindre importance.
A ces actions politiques et terroristes s’ajoutèrent un intense prosélytisme s’appuyant sur le vide religieux et la pauvreté matérielle croissante des Français. En 2025, progressivement, la France était en partie passée sous la domination de musulmans. Le phénomène avait été accru encore par l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne qui déversa sur notre pays des centaines de milliers de ses ressortissants.
L’ÉTABLISSEMENT DE LA RÉPUBLIQUE ISLAMIQUE
Dans les zones qu’elles contrôlaient, s’appuyant sur les lois de décentralisation, poussées par leurs éléments extrémistes et sous la menace d’actes terroristes, les autorités musulmanes prirent des mesures visant à instaurer petit à petit un ordre islamique. II s’ensuivit un départ massif des autochtones de ces zones pour d’autres régions moins marquées ou, pour les plus fortunés, pour l’étranger, l’Argentine et l’Australie en particulier.
D’autre part, la résistance, sporadique et dispersée au début, se renforça, s’organisa et s’unifia, amplifiant le mouvement de séparation territoriale des deux communautés: le Midi méditerranéen, le Nord, une partie de l’Est, la banlieue septentrionale de Paris, la région lyonnaise, le Roussillon furent soumis à l’autorité musulmane et servirent de bases à son action contre les zones encore soustraites à son influence.
Amoindrie par les lois sur la décentralisation ayant transféré aux Régions une grande partie du Pouvoir et par l’autorité grandissante de l’Europe, l’Etat avait perdu, cette fois définitivement, les moyens matériels et même la volonté de rétablir son autorité. L’anarchie et l’insécurité gagnaient partout, mais surtout dans les zones restées sous influence autochtone où la minorité musulmane demeurée sur place, malgré son désir de vivre en paix, était contrainte de donner son aide au terrorisme islamique. La France était plongée dans une situation libanaise ou bosniaque.
Dans ce chaos, des élections législatives eurent tout de même lieu en 2035. Elles portèrent à l’Assemblée une courte majorité musulmane, mais l’élection présidentielle qui suivit aussitôt désigna un président non musulman. Le désordre fut alors à son comble et se transforma en guerre civile. Fuyant l’insécurité et la terreur, une grande partie de la population autochtone rejoignit ceux qui l’avaient précédée en Argentine, en Australie, au Canada et en d’autres pays.
La France, devenue en Europe un grave foyer d’insécurité (avec la Belgique dans une situation similaire), les instances internationales firent intervenir l’O.N.U. qui dépêcha des troupes.
En 2037, la paix revenue, de nouvelles élections eurent lieu. La population autochtone avait tellement diminué par rapport à la population musulmane qu’elle porta au pouvoir une majorité législative et présidentielle islamique indiscutable.
La France était devenue la république islamique française que nous connaissons aujourd’hui.
tol
justement Tonio, l’islam est peut être la seule chance d’unification de l’Europe, avec ou CONTRE.
marcel
et ces manifestations étaient, d’après FRANCE désINFO “pacifiques”, alors que des gens qui prient le chapelet devant des églises sont tournés en dérision
Adso
un abri bus place de la Nation ? Vous êtes très loin du compte ! Ils ont même essayé de casser les panneaux d’affichage du temps d’attente dans ces même abri bus ! Des sauvages, des animaux !
free
Pour suivre le commentaire de M.Leclerc
Disparition, sous les ordres de la “charia”, de la charcuterie et de la viticulture en France ?
Terminé les vins de Bordeaux, de Bourgogne, du Languedoc, d’Alsace, des Pays de Loire, des Côtes du Rhône …
Certainement pas … mais que de conflit en perspective, dont de sang versé pour défendre les derniers éléments de la culture , de la gastronomie française, que les thuriféraires de l’anti-racisme (à sens unique)auront contribué à mettre à bas.
Alex B.
A ce “Précis d’Histoire de France” tristement réaliste et qui fait froid dans le dos, vous pourriez aussi mentionner la complicité d’une grande partie des forces dites “nationalistes” françaises qui ont souvent pactisé avec l’islam pour des raisons de stratégie, sous le prétexte fallacieux que “les ennemis de nos ennemis ne sont pas nos ennemis” : j’en veux pour exemples leur attitude pour le moins complaisante vis à vis du Hamas, du Hezbollah, de l’Iran ou du pitre Dieudonné. En se comportant ainsi, les prétendus mouvements “nationalistes” français n’ont fait que légitimer et renforcer le pouvoir du lobby musulman en France et favoriser la substitution de population.