Lu dans Présent :
"Un rapport édifiant sur la polygamie en France, signé par Mme Sonia Imloul, vient de sortir. Il nous révèle que 500 000 enfants, africains et musulmans pour l’immense majorité d’entre eux, sont nés en France dans des familles polygames. Une polygamie que les socialistes avaient d’ailleurs légalisée dans les années quatre-vingt, au nom du respect des droits des minorités ethniques et qu’en 1993 Charles Pasqua avait interdite. Aujourd’hui, en France, la polygamie est donc illégale, mais tolérée. Les municipalités concernées préfèrent fermer les yeux de peur de « stigmatiser » les populations dont certains ressortissants pratiquent la polygamie. Le rapport cite des familles polygames vivant sur notre sol – un homme, deux ou trois femmes, parfois quatre, et une multitude d’enfants (cela peut aller jusqu’à trente-cinq et plus) – entassées dans deux ou trois pièces. Les possesseurs de ces harems touchent évidemment des allocations familiales. Toutefois, nous explique l’auteur de ce rapport, beaucoup d’entre eux envoient une grande partie de ces ressources sur le continent africain. Eux-mêmes subsistant en France de divers petits trafics. Tandis que leurs femmes continuent de quémander d’autres prestations sociales."
Octavius
Et je suppose que chacune touche les allocations -et autres- de parents isolés, allocation logement etc etc
VD
“Tout va très bien Madame la Marquise”… Les andouilles de français paient la facture. Ils sont bons pour les taxes et les amendes (étant limite délinquants ou traités comme tels), pendant ce temps les hors-la-loi, les clandestins peuvent réclamer et recevoir la manne rackettée !
Une époque EPATANTE, vous dis-je…
Marie laure
Merci Monsieur Giscard destaing ,Chirac et les autres
Ethos
Oui, ils sont bénéficiaires des allocs les plus variées qu’on aura refusées à ma femme qui n’est pas allogène.
Marie
N’oublions pas que les premières victimes sont ces femmes, généralement esclaves de la préférée et maintenue avec soin dans cette servilité par celle-ci. Nombre d’instituteurs vivent ordinairement ce drame avec leurs petits élèves, issus de semblables unions, et partageant la souffrance de leurs mamans… avant d’en venir trop souvent, avec leurs frères issus d’autres union à un mépris irrémédiable de la femme.
Voilà l’oeuvre de nos bons républicains…