Le Motu Proprio annoncé mi-juin comme imminent sur la nouvelle structure de la commission Ecclesia Dei, qui serait désormais rattachée à la Congrégation pour la doctrine de la Foi, et le dialogue avec la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X se fait attendre, selon Jean-Marie Guénois, car Rome attend de connaître le ton, lundi matin, de l'homélie de Mgr Fellay à Ecône, lors de la cérémonie d'ordinations de 8 nouveaux prêtres.
FSSPX : A quand le Motu Proprio ?
5 commentaires
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HB
Chutttt.
Silence, on prie!
louis
L’essentiel est moins ce “motu proprio” et le “ton de Mrg Fellay”, que le bien de l’Eglise de Notre Seigneur, l’unique et seule vraie religion.Si donc l’Eglise est disposée à faire tous les pas nécessaires pour la “reconquête”, il va de soit que la FSSPX pourra exercer pleinement et dans tous les édifices ( chapelles, églises, basiliques etc) le Ministère Sacrerdotal qu’elle tient de la Succession apostolique.Car, petit à petit sera reconnue l’importance de montrer un catholicisme fier de l’être et de convertir sans ambiguités ni discours calqués sur le monde.Car l’Eglise est de Dieu, elle est dans le monde mais n’est pas du “monde” puisque, pour l’instant, c’est encore Satan qui gouverne ce monde.
Oui, vous avez raison, prions d’un coeur uni pour l’unité, la réconciliation, la diffusion et l’application de l’Evangile si contraire aux erreurs des sociétés humaines. +
catherine
Prions, prions,prions,avec foi, espérance et charité.
Olivier M
Bravo Louis.
Hubert le Roux
J’en profite pour dire que l’article du Figaro est un tissu d’erreurs. Sur le fond comme sur la forme (déplorables l’un et l’autre)le texte de JM Guénois est très approximatif. Coupablement orienté, disert sur les références qui n’apportent aucune nouveauté ni aucun éclairage particulier (sauf lorsqu’il expose les dissensions internes où son silence est alors assourdissant) il ne s’illustre que par l’emploi répété de guillemets auxquels il tente pauvrement de donner un ton dédaigneux. Du bien pauvre journalisme, sans intelligence et sans référence. L’imposture n’est pas loin…