Le site de l'Ecole des loisirs l'affiche en gras :
"Livre sélectionné par l'Education nationale".
Mon frère, ma princesse a en effet reçu le prix des collégiens Collidram en 2013, relayé par les Délégations Académiques à l’éducation Artistique et à l’Action Culturelle (DAAC) des rectorats. Déjà lue par de nombreux élèves, quand ce ne sont pas eux-mêmes qui l'ont jouée à l'école, cette pièce sera mise en scène devant de nouvelles classes, dès le CE2, à partir du mois de décembre (dates ici).
Vigi-gender, qui a scanné sur son site quelques pages qui laissent pantois, résume ainsi la pièce :
"C'est l'histoire d'un petit garçon qui voudrait être une petite fille. (…) Centrée sur le genre, l’histoire est violente. Elle suggère le meurtre, le suicide et évoque une agression sexuelle. Elle est de surcroît écrite dans un style vulgaire, avec de nombreuses fautes de français."
L'auteur, Catherine Zambon, ne cache pas ses intentions (ni ses difficultés avec le français) :
« Depuis de nombreuses années, je vais dans les classes, j’écris pour les enfants, et je les repère toujours les petits gars rêveurs qui n’ont pas envie de se bagarrer et les petites filles échevelées mal à l’aise dans leur robe de fille. Je vois bien qu’aujourd’hui encore s’exerce une norme où il y a peu de place pour laisser libre cours à d’autres schémas, d’autres paroles, d’autres questions.
C’est quoi être une fille ? C’est quoi être un garçon ?
C’est quoi qu’il faut savoir pour devenir « autre » ?
Est-ce possible d’avoir envie d’être l’un ou l’autre ?
Qu’est-ce que ça veut dire ?
C’est quoi un garçon manqué ?
Et une fille manquée ? Ça existe ?
Et si on ne veut pas être celui-là ou celle-ci : fille ou garçon, il se passe quoi ?
Ça veut dire quoi tout ça, au fait ? […]
Il était temps, pour moi, écrivain, d’aborder cette question dans une pièce de théâtre pour la jeunesse. »
P.R.
Bravo au Salon Beige qui mène le combat contre cette idéologie satanique de perversion des enfants innocents, cette honteuse, fausse, antiscientifique, immorale théorie du genre. Merci à tous les parents de se battre, de se fédérer, de militer contre cette abomination. Merci aux parents de bien éduquer et mettre en garde leurs enfants.
Patrice Duport
[…]
Ça veut dire quoi tout ça, au fait ? […] (sic) : du grand n’importe quoi.
Quand se posera-t-on la question de savoir si les gamins sont capables de lire et d’écrire correctement la langue française. Savent-ils compter sans l’aide d’un outil électronique ?
Genre rage !
Ave Maria
Chers enfants de l’Eglise,
Vous aurez beau écrire, vous défendre, vous insurger, rien n’y fera si vous ne subordonnez pas vos actions quotidiennes à la Divine Providence.
Prier pour la conversion des pauvres pécheurs doit être notre première intention de coeur.
Et nous réalisons parfaitement cette intention en priant le Rosaire (c’est-à-dire 3 chapelets) TOUS LES JOURS, comme la très Sainte Vierge Marie nous l’a demandé à Fatima. Si déjà, vous refusez de vous plier à une demande de Notre Dame Elle-même, vous êtes déjà dans l’erreur.
Laissez la Grâce agir en vous, au gré de la Volonté de Dieu tout puissant, et laissez agir notre Seigneur Jésus-Christ en vous et par vous.
Cela demande un dépouillement total de soi et de son orgueil mais il est immuable que c’est le seul, l’unique moyen pour redresser les consciences.
Ne vous laissez pas avoir par les mouvements de votre orgueil en vous servant vous-mêmes, vous glorifiant de vos petites actions.
Sans l’Amour et en refusant de nous laisser guider pas l’Esprit Saint, nous ne sommes rien.
TOUT A DIEU, DIEU SEUL !
En union de prières, uni aux Coeurs de notre Seigneur Jésus-Christ et de la très sainte Vierge Marie.
cathether
de l’art ou du cochon, Mme Zambon a choisi
SeReNiTy
Quelle stupidité ! et là je rejoins Einstein qui se posait cette question : “Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue.”
Une proposition pour aller plus loin dans la [stupidité] : nous devrions laisser nos enfants choisir leur prénom (masculin ou féminin) lorsqu’ils seront sûrs du choix de leur sexe… N’est ce pas un genre de discrimination de les affubler d’un prénom à connotation masculine ou féminine… ????
Faut arrêter… là… Ca en devient ridicule…
En union de prières afin que Dieu éclaire ces esprits enfumés…
[En l’occurrence, votre proposition n’est pas loin de la réalité de certaines familles militantes, qui donnent des prénoms “non genrés” à leurs enfants pour qu’ils puissent choisir plus tard : Pop, Storm, Sasha…
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/02/17/01016-20130217ARTFIG00185-pop-6ans-l-enfant-suedois-sans-sexe.php?pagination=7
L.T.]
JEJ
Aberrant ! Donc un petit garçon rêveur est nécessairement soit un homosexuel soit un transsexuel en devenir ? Donc une petite fille échevelée veut nécessairement être un garçon ou est lesbienne ?
Je passe sur le fait que pour cette personne les garçons sont réduits à se battre et qu’une fille porte une robe…
Alors si cela ce ne sont pas des stéréotypes débiles !!!
Olivier Rueil Malmaison
Question : pourquoi de très nombreuses écoles catholiques proposent elles les collections de L’Ecole des Loisirs à la rentrée (Titoumax, Minimax, etc…) ?
Y a-t-il un lien entre l’Enseignement Catholique et cette maison d’édition ?
Mes enfants ont reçu pendant un an un abonnement à l’une de leurs revues, Titoumax ; j’ai trouvé cela assez mal écrit (beaucoup onomatopées, un style ‘oral’ volontaire, très peu de texte, quasiment que des images, des histoires un peu simplistes) et assez cher pour ce que c’est : 8 livres pour 50 € en un an…
Bref, il y a bien mieux. Si en plus ils se mettent au gender, il est temps de les bannir de nos écoles chrétiennes.
Deum
Je propose de créer un site de tous les anciens petits garçons rêveurs et petites filles échevelées qui n’ont jamais eu aucune envie de changer de sexe ni de se travestir. Non mais !
Un ancien petit garçon rêveur.
cyliste
c ‘est tellement énorme… C’est même au delà des alarmes anti gender les plus fortes relayées par nos associations.
Luc
Quand il est tout petit, l’enfant s’aperçoit que certains frottements peuvent être provoqués et amener un certain plaisir. Celui-ci vient sans qu’il n’y ait besoin de penser en même temps à quelqu’un.
A l’âge adulte, il en est tout autrement. Le frottement n’est plus suffisant pour éprouver ce plaisir. C’est le cerveau qui intervient. Il a emmagasiné des expériences qui vont lui servir.
D’autre part, un petit est “une éponge”. Il copie ses parents. Si inconsciemment ceux-là le traitent comme-ci il était de l’autre sexe, il essayera d’aller dans cette direction tant il éprouve le besoin de plaire à son père et à sa mère. Il n’est donc pas surprenant si une paire de lesbiennes, ayant adopté un garçon, celui-ci rêve de devenir une fille. Il ne faut jamais oublier qu’il existe chez les désaxés, une sorte de haine de l’autre sexe.
http://www.dailymail.co.uk/news/article-2043345/The-California-boy-11-undergoing-hormone-blocking-treatment.html
Comment un petit garçon peut-il se développer normalement s’il n’y a pas à côté de lui un représentant adulte de son sexe ?
Kazar
Un jour, à force de provocations, ces prétendus “auteurs” se feront lyncher par le peuple.
Jane Doe
“C’est quoi qu’il faut savoir pour devenir « autre » ?” Non mais allô quoi !! C’est quoi que c’est que cette phrase ? Comprends mieux pourquoi que mes élèves y disent qui c’est qui ou s’ils z’auraient, etc…(argh !!!!)