Dans le journal local La Baule +, Yannick Urrien consacre plusieurs entretiens sur la question d'actualité. Ainsi, il a interrogé Olivier Vial, président de l’Observatoire sur la théorie du genre. Extraits :
"La force de
Vincent Peillon, c’est d’avoir
utilisé ce terme de morale,
qui résonne très positivement
dans la tête des Français, alors
que dans les faits cela risque
d’être totalement contraire à
ce qu’ils attendent. Quand on
parle de morale, les Français
espèrent revoir un enseignement
où l’on traite de droits
et de devoirs. Or, Vincent
Peillon s’inscrit dans la lignée
de Jean Jaurès. En 2008, il a
écrit un livre, «La Révolution
Française n’est pas terminée»,
où il disait déjà que la morale
laïque est un instrument de
l’action politique, républicaine
et socialiste. Il y a un
vrai risque d’instrumentalisation
de l’école à des fins
politiques. Par exemple, dans
cette morale laïque, il peut y
avoir la dépénalisation du
cannabis et l’introduction de
la théorie du genre à l’école. […]On ne sait pas encore ce qui
va être fait et les programmes
seront rédigés fin juin. On a
de réelles inquiétudes sur la
rédaction des manuels scolaires,
puisque le ministère
de l’Éducation Nationale a
confié à un think thank très
proche des milieux LGBT
(Lesbiennes, gays, bisexuels
et trans) – dont le président
est Louis-Georges Tin, également
président du CRAN
(Conseil représentatif des associations
noires de France)
et militant radical gay – le
soin de vérifier que les manuels
scolaires aillent dans le
«bon sens». […]La vraie difficulté, c’est que
derrière un discours qui
peut apparaître comme positif,
comme sur l’égalité des
sexes, on a quelque chose qui
va beaucoup plus loin. Ce
n’est pas d’égalité dont on
parle, mais de négation des
différences. La question de la
théorie du genre est très intéressante.
Derrière ce discours
sur la lutte pour l’égalité des
sexes, il y a des militants qui
sont en train d’essayer de
mettre en place une politique
qui va jusqu’à nier la réalité de
la différence des sexes. On est
en train d’implanter une nouvelle
idéologie. Beaucoup de
Français s’imaginent que c’est
de la science-fiction mais, malheureusement,
en quelques
semaines, la France a mis ses
pas dans des politiques qui
ont déjà été expérimentées
dans d’autres pays, notamment
en Suède. En Suède, on
a développé des crèches et des
écoles neutres, où l’on délivre
la même éducation aux enfants
: on fait en sorte que les
petits garçons jouent avec des
poupées et que les petites filles
bricolent… On fait en sorte
qu’il n’y ait pas de moments
de liberté pour les enfants,
car on s’aperçoit que chaque
fois qu’on laisse une plage
de loisirs, les petits garçons
préfèrent aller jouer avec des
petites voitures et les petites
filles préfèrent aller jouer à la
poupée… On nous apprend
que la liberté est le contraire
de ce qu’il faut faire et qu’il
ne faut surtout pas laisser les
enfants libres, pour qu’on
puisse les rééduquer afin que
la pédagogie puisse contrer
les tendances naturelles. On
a des cas de plusieurs enfants
qui ont été éduqués sans sexe,
avec le genre neutre, avec la
complicité des parents et personne
ne sait quel est le vrai
sexe de l’enfant : par exemple,
on les habille un jour en fille,
le lendemain en garçon… […] Najat Vallaud-Belkacem
a parrainé la première
crèche neutre à Saint-Ouen
en septembre 2012. […]
c
En Espagne où le gouvernement Zapatero avait mis en place les cours de citoyenneté qui avaient comme but de propager cette “morale” (mariage unisexe outre Pyrénées possible depuis 2005 et bien sûr non abrogé par le nouveau gouvernement dit de droit en place depuis bientôt deux ans), les parents ont extraits leurs enfants des classes, demandant l’objection de conscience, avec bien des difficultés et persécutions, vexations, enfants laisser dans la cours de récré en pleine hiver, etc. L’affaire est montée jusqu’à la Cour Européenne des Droits de l’Homme …il me semble, mais la teneur de cet enseignement de la citoyenneté ne se change pas très vite…
Il faut, sans doute en France, que dès la rentrée (c’est peut-être plus facile d’abord dans les écoles catholiques sous contrat plutôt que dans les écoles publiques stricto sensu?), les parents exigent d’avoir exactement les programmes, les heures de programmations des cours, et qu’ils puissent s’organiser pour venir aux heures de classe, pour peut-être réclamer leurs enfants. De toute façon le nombre fait la force.
Sinon il n’y a que la solution de se faire porter malade, le jour du cour…Nécessité d’une sacré personnalité pour l’enfant, pas simple.
L’Etat avec Peillon, va évidemment mettre ces sujets qui “fâchent” aux examens.
Deux solutions, une mauvaise note, ou apprendre par coeur, et avoir la capacité de dire dans sa tête c’est un mensonge, mais c’est le passage obligé pour avoir une bonne note. Là aussi, nécessité d’une personnalité forte de l’enfant (et de savoir se taire pour ne pas “dénoncer” le caractère déviant des parents – assistance sociale – enquête – cf Allemagne où des enfants ont été enlevés de la garde de leurs parents car ces derniers ne voulaient pas qu’ils reçoivent certains cours relatifs à la nouvelle ingénierie sociale).
Nous sommes bien rentrés dans d’un pays en dictature.
Bref, seule la résistance “acharnée” dès maintenant peut peut-être évitée le pire, et surtout pas, “on ne sait pas”, “on ne peut rien faire”, “ce n’est peut-être pas si grave”.
Certes cette dictature ne s’est pas imposée par les armes mais notre incapacité à voir arriver le danger depuis des décennies a fait le reste, et rien ne dit qu’elle ne se maintiendra pas par de plus en plus de moyens de contrainte violente, et une autre idéologie utilisant les mêmes forces de contrainte. Quand l’habitude est prise…et que les “élites” conservent leurs avantages, pourquoi voudraient elles changer les choses.
l'anarcho
C’est l’utopie d’un homme nouveau arraché à tout déterminisme…
c
En complément à mon dernier post.
La presse espagnole rapporte que Nils Muiznieks (commissaire européen des droits de l’homme depuis 2012, né i né en 1969 aux EU mais de nationalité lettone, et donc nommé au nom de la Lettonie) était en Espagne récemment mais son agenda ne lui a pas permis (élément du communiqué) de rencontre la principale organisation de Parents (Forum pour la famille), en marge de sa rencontre avec le gouvernement.
Il a curieusement exprimé sa préoccupation de la suppression du cours d’éducation pour la citoyenneté (EpC, en fait les cours de « moral » à la Zapatero) du programme scolaire et « le danger que ses contenus soient dilués ». Il semble donc ignorer que la dite suppression est motivée par l’énorme conflit liée à cette matière entre les parents et l’État espagnol. En effet des milliers de familles ont mis en avant l’objection de conscience et continuent à tenir leurs enfants hors des salles de classe.
Ce manque d’information ou cette tactique du « pas savoir la réalité des choses », est particulièrement inquiétante de la part d’un commissaire européen, qui de plus représente un pays qui a subi la dictature communiste et donc devrait savoir les dangers de la main mise par l’État sur les enfants.
Mais c’est aussi la preuve que cette « politique » d’imposition d’une nouvelle « morale » est mondiale.
La France réelle se doit donc de résister.
Jean Theis
Grande clairvoyance de “c”.
Hélas on n’a pas vu venir car on pensait que c’était tellement absurde que ça ne passerait pas, qu’il s’agissait de théories fumeuses d’illuminés auxquelles les gens normaux n’adhéreraient jamais.
JPR
C; J’abonde dans votre sens. De telles solutions restent envisageables vu que le ministre ferme même la possibilité d’une éducation familiale à l’heure même où les Infos nous bassinent sur un sujet exceptionnel qui n’aurait même pas mis les pieds à l’école pour avoir son bac avant les délais de l’Education Nationale. Un seul cursus, le cursus national ou le cursus hors contrat. le plus marrant c’est que les nouveaux génies viendront de celui-là alors que les (désolé) “crétins de base” destinés au chômage prendront l'”autre chemin. mais ce sera encore la faute de l’élitisme. d’autant que les “crétins élitiste” seront désormais de dangereux terroristes sexués et genrés d’Extrême droite. l’Ecole sous contrat n’a plus lieu d’être car elle n’a plus latitude de lutter. Il lui faut un repli considérable avant un redéploiement…moral, celui-là. Il y aura pleurs et grincements de dents. l’Ecole sous contrat n’a plus lieu d’être si elle veut subsister avec son identité. Elle mourra dans les deux cas, sauf si l’Eglise se décide enfin à en sauver un pan. On sait lequel. Sinon, il faut à Hollande un nouveau 1984 scolaire. mais là, Hollande a un coup de retard vu qu’il a déjà exacerbé les opinions grâce à Madame Taubira. Qu’il continue ainsi et ce n’est pas reculer qu’il devra mais tomber qu’il fera. Petit Padawan. Ici, les musulmans sont même contraints à se lever. Enfin, s’ils sont musulmans, selon moi. Merci Peillon de finir de balayer la M… de ta copine. Continue, j’aime ! Rassurez-vous, ce ne sont pas les élites qui changeront les choses. D’ailleurs, c’est une connerie de croire que les élites sont au pouvoir c’est ce qu’un quarteron d’idéologues et d’incompétents d’une école de voyous veut faire croire. Listez les tous avant qu’ils n’aient rempli leur froc.
NOTA Je conseille à ceux qui ont du fric de bien l’investir et pas de garder des chaussettes pour l’hiver prochain. Vaut mieux avoir froid aux pieds l’hiver prochain. Depardieu, je ne t’aime pas plus qu’un autre, mais tu es moins con que beaucoup. C’est cela que ton Pif a senti venir et cela se dessine. Bon flair. Surtout depuis qu’ils se sont attaqués à ficher l’armée. Moi je n’ai rien mais bon. Quant à ceux qui s’en sont tiré, mon opinion qui vaut ce qu’elle vaut, ne vous laissez pas intimider. Ceux qui veulent partir, grouillez-vous, la fenêtre est petite.
Pour revenir à l’Education dite Nationale, ou elle sera Nationale et dictatoriale, ou elle pètera sous la pression du peuple qui croit encore à l’avenir et redeviendra l’Instruction Publique ou ce pays n’a plus d’avenir dans l’Education (ni nationale ni parentale) durant au moins dix ans.
X %
Il suffit aux esprits sains et sensés d’observer ce qu’il se passe dans la cour de récréation d’une école primaire. D’eux-mêmes, les petits garçons jouent entre eux et les petites filles, entre elles. La nature est là, en pleine démonstration. Chacun aura dans la vie son rôle à jouer, complémentaire de l’autre.
Il faut être complètement “dingue” et perverti pour s’imaginer pouvoir changer ce qui se existe depuis la nuit des temps, croire et faire croire qu’un jour, un père pourra allaiter ses enfants à leur naissance.
trahoir
Combattre l’idéologie du gender avec le syndrome dracula (Radio Courtoisie)
http://www.fdesouche.com/382261-combattre-lideologie-du-gender-avec-le-syndrome-dracula-radio-courtoisie