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Culture de mort : Idéologie du genre

Gender : la propagande face au réel

Dans un article, Libération raconte la propagande qui se déroule dans une classe de primaire à Paris, pour expliquer que la fille est un garçon comme les autres ou que, inversement, le garçon est une fille comme les autres. Et l'article se termine ainsi :

"Dans sa classe, sur les dossiers des chaises, les cartables
restent pourtant bien roses avec des paillettes et des princesses pour
les filles, et bleus avec des voitures dessus pour les garçons
. «Comme pour les jouets, les fournitures scolaires sont sexuées, soupire-t-elle. Difficile d’échapper à cette vision bipolaire du monde.»"

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15 commentaires

  1. Il y a que dans les rédac. de gauche qu’on mélange les genres, non ?

  2. une vidéo:
    Conférence de Patrice André, intitulée “L’idéologie du Genre ou un nouveau totalitarisme en marche”.
    http://www.dailymotion.com/video/x15066n_l-ideologie-du-genre-ou-un-nouveau-totalitarisme-en-marche-patrice-andre_news?start=1

  3. Et oui, le principe de réalité s’impose.

  4. Et oui, quand on prône le gender, utopie sans fond, on finit toujours par geindre.

  5. Effectivement, mes filles ne mettrons pas de Spider Man, même sous la torture!!!

  6. Phantasmes mortifère d’idéologues déconnectés du réel !
    Si notre globe terrestre n’était pas un monde bipolaire, la boussole n’aurait jamais pu être inventée et l’humanité y serait resté confinée comme dans un labyrinthe ambigu.
    Toute bipolarisation permet de s’orienter, elle rend le monde intelligible.

  7. Merci pour la vidéo,
    je fais suivre à d’autres personnes.

  8. “Comme pour les jouets, les fournitures scolaires sont sexuées.”
    Eh oui. Et les petites filles et les petits garçons sont sexués eux aussi. Et l’eau mouille et le papier de verre gratte. Et la presse de gauche n’est même pas assez bonne pour servir de papier toilette.

  9. la théorie des genres est un mensonge, comment inculquer sans mentir à l’école à un enfant qu’il peut être indifféremment une fille ou un garçon, il faudrait alors lui expliquer comment un garçon comme une fille peut avoir ses règles ou tomber enceinte, ça la théorie des genres ne peut l’expliquer

  10. Ce n’est pas à l’éducation nationale de faire une telle éducation (elle n’est d’ailleurs pas du tout à faire), son rôle est d’enseigner ! Rien d’autre !
    Mais ça, c’est connu depuis longtemps et les politiques se moquent complètement de ce que nous pensons ; ils veulent bourrer le crânes de nos enfants de ce qu’ils veulent, surtout une société de zombi à leurs ordres ! Peillon n’a-t-il pas dit que la laïcité était la nouvelle religion ?!
    Ce ne doit pas être facile pour des parents qui ont des enfants (dans le public) un peu influençable de leurs faire comprendre que les instits n’ont pas toujours raison et que c’est à EUX parents qu’il revient d’obéir pour tout ce qui est la vie ! Qu’il faut se conformer aux écritures, que l’abbé est aussi un directeur de conscience à écouter.
    Demander à des enfants de choisir le sexe qu’ils ont envient d’avoir… il faut être de dangereux malades pour appliquer ses enseignements.
    Ne sont-ils pas entrain de vouloir plus de déviants sexuels ?! (homo, lesbiennes, etc.)
    Il y a depuis quelques temps des émissions et films qui essaient de faire penser que c’est – normal – d’avoir ses relations, ne le tolérons pas dans les écoles !!

  11. Et elle espère ainsi favoriser l’entrée des femmes sur le marché du travail? Mais quelle crétine ! Le vrai pb est dans la mentalité des employeurs qui ne voient dans les jeunes femmes que des futures femmes enceintes, donc absentes, donc non rentables, au lieu de voir dans celles ci des femmes stables, tournées vers l’avenir et offrant un futur au pays.

  12. C’est drôle comme plus on parle de “gender” et de sexes interchangeables, plus les filles et les garçons marquent leur différence sexuelle.
    Aujourd’hui, c’est très net, dès la maternelle (cartables roses pour les filles, etc.) et jusqu’au lycée, où on voit désormais plein de filles en jupe, avec des coiffures bien féminines et les ongles vernis… alors qu’il y a quinze ans elles étaient toutes en jean unisexe, avec des allures de garçonnes.
    N’est-ce pas rassurant cette réaction des jeunes parents et de notre jeunesse ?
    Je pense que Peillon est loin d’avoir gagné la partie !

  13. Coupable par déni et refus de réalité.

  14. C’est elle qui débloque en parlant de fournitures scolaires sexuées. Il y a des cartables, certains avec des paillettes et d’autres avec des voitures. Point. Après, c’est elle qui extrapole. On ne refuse jamais la vente d’un cartable décoré de voitures à une petite fille. Cela étant, il me semble que les cartables à paillettes sont achetés à 100% par des filles et ceux avec voitures à 99% au moins par des garçons. Elle veut quoi, un cartable d’uniforme gris pour tout le monde ?

  15. Chaque fois que l’homme veut imposer un concept en avance sur son temps il y a une saine réaction qui stabilise les effets de l’innovation propagée, peut-être un réflexe de survie inconscient mais salutaire.

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