Dans une note interne, l'APEL fait le point sur la théorie du genre :
"Qu’est ce que le Genre ou Gender ?
Le concept de genre, apparu aux Etats-Unis (Gender) dans les années 60, est issu de recherches autour de la sexualité et des rapports hommes/femmes par des psychologues et des sociologues. Il a ensuite été repris par les mouvements féministes, à partir des années 70.
Pour les promoteurs de ce concept, il n’existe pas de réelle correspondance entre le genre (masculin/féminin) et le sexe (homme/femme). L’identité sexuelle ne serait donc pas naturelle mais plutôt le fruit de constructions socio-culturelles. A partir de là sont nées, non pas une, mais des théories du genre.
C’est la théorie la plus extrémiste, la Queer theory apparue dans les années 90, qui a été la plus présentée en France dans les médias. Elle prône une déconnexion totale du biologique et du culturel afin de renverser la domination masculine et remet en cause toute norme, qu’elle soit de sexe ou de genre.Qu’en pense l’Apel ?
Certains enseignements tirés des études sur le genre ont constitué des apports positifs, en particulier pour lutter contre des préjugés qui perdurent et lutter contre l’inégalité entre les femmes et les hommes.
A l’inverse, les idées extrémistes parfois véhiculées par les défenseurs de cette théorie peuvent être déstabilisantes et dangereuses pour des jeunes en construction.
Par ailleurs, l’Apel soutient le projet éducatif spécifique des établissements catholiques d’enseignement, fondé sur une conception chrétienne de l’homme, de l’éducation et du sens de la vie. Nous sommes donc attachés à la reconnaissance et à la défense de l’altérité, source d’équilibre et fondement de notre société, qui ne s’oppose pas, bien au contraire, à la recherche d’une plus grande égalité entre les femmes et les hommes.Quelles actions l’Apel nationale a-t-elle menées sur ce sujet ces derniers mois ?
L’Apel a été active et a pris tous les contacts politiques nécessaires. Elle a ainsi rempli fidèlement la mission qui a toujours été la sienne.
C’est ainsi qu’en 2011, l’Apel est intervenue auprès de Luc Chatel, alors Ministre de l’Education nationale, pour dénoncer l’introduction de la théorie du genre dans les manuels scolaires de 1ère ES et L.
Au mois de juin dernier, dès l’introduction d’un amendement à ce sujet dans le projet de loi de refondation de l’école, l’Apel a rencontré des parlementaires, le rapporteur du texte de loi au Sénat et des représentants du cabinet du Ministre pour leur faire part de ses interrogations. Elle a également écrit à Vincent Peillon, Ministre de l’Education nationale. Après avoir demandé des explications sur le sujet, elle a jugé opportun de demander le retrait de cet amendement pour éviter toute polémique inutile.Aujourd’hui quelles sont les lois ou programmes scolaires à dénoncer ?
Aucun.
La loi de refondation n’en parlait pas à l’origine et l’amendement qui avait introduit une phrase ambiguë sur ce sujet a été retiré à la demande du Ministre lui-même. Vigilante sur la question, l’Apel a fait un travail de sensibilisation auprès des élus de la République. Enfin, les nouveaux programmes scolaires ne sont pas encore écrits : leur rédaction s’échelonnera jusqu’en 2017. Quand ils le seront, l’Apel en prendra connaissance et donnera son avis lors des débats qui auront lieu au Conseil supérieur de l’éducation (CSE) dont elle est membre : elle sera donc en mesure de réagir si besoin.
L’Apel a connaissance de quelques textes tendancieux, rédigés par des associations qui proposent d’intervenir en classe et par des syndicats d’enseignants du public. Il faut cependant savoir que ces documents ne seront pas distribués dans l’Enseignement catholique et que toute intervention extérieure nécessite l’accord préalable du chef d’établissement.Y a-t-il des risques d’amalgames ?
Les débats souvent très enflammés autour de la question du genre ne doivent pas nous faire oublier qu’il est important de faire progresser l’égalité entre filles et garçons. En particulier, les réflexions autour du projet personnel du jeune et de son orientation scolaire et professionnelle doivent être abordées sans tabou, ni préjugés sexistes.
De la même façon, la lutte contre l’homophobie [?] doit être clairement menée.Que sont les « comités de vigilance Gender » ?
Créés par l’association La Manif Pour Tous, ces comités veulent « veiller à ce que l'identité sexuelle homme/femme ne soit pas remise en cause auprès des enfants et éviter que la question des pratiques sexuelles ne soit évoquée à l'école, à un âge bien trop précoce ». La Manif Pour Tous souhaite éviter l'intervention malvenue de l'Etat dans un domaine intime et la déconstruction de repères élémentaires pour les enfants.
Comment réagir au sein des Apel d’établissement face aux sollicitations de ces comités ?
L’Apel remplit déjà cette mission de vigilance et, étant donné le rôle spécifique du chef d’établissement dans l’Enseignement catholique, les « comités de vigilance Gender » n’y ont pas de raison d’être.
Le département éducation du SGEC a mis à la disposition des chefs d’établissement une large série d’outils de réflexion et de travail sur ce sujet. Par ailleurs, le nom même de « Comité de vigilance » pourrait être mal perçu, en ce qu’il semble instaurer une certaine défiance vis à vis des autres membres de nos communautés éducatives, alors même que l’Apel défend un travail d’étroite collaboration, dans un climat de confiance.
De surcroît, nous devons veiller à éviter toute récupération politique.
Les responsables Apel n’ont donc pas à créer de comités de vigilance. En revanche, ils peuvent demander aux chefs d’établissement de mettre à l’ordre du jour du conseil d’établissement la question de l’éducation affective et sexuelle, pour que les représentants de la communauté éducative réfléchissent ensemble aux améliorations à apporter.
Si des militants des comités de vigilance contactent certains présidents d’Apel, ces derniers doivent les rassurer en leur expliquant la situation particulière des établissements de l’Enseignement catholique et les actions menées par l’Apel dans ce domaine."
François
Le terme “s’oppose” dans le titre est un peu fort et un peu réducteur. Ils disent juste qu’il faut éviter de faire des doublons dans l’enseignement catholique car ils considèrent qu’ils font déjà ce travail. Les vigi-gender ont effectivement plus leur place dans l’enseignement public où rien n’est contrôlé ni maitrisé. Néanmoins, ces déclarations des APEL ne nous empêchent pas de faire remonter des dysfonctionnement (auprès de l’APEL par exemple mais pas seulement) que l’on pourrait constater dans l’Enseignement Catholique.
gipsy
Il ne faut donc pas adherer a cette association qui ne défend pas les enfants.
Peillon n’a pas besoin de s’occuper Des ecoles catho, elles se sabordent elle-même!
CHAMBSSY
A quand les cours d”HDVC” dans la chapelle et la ligne Bleue Azur en sticker sur les casiers ? pour la capote, c’est déjà fait (souvenirs perso pour nos propres enfants)
Redpine
Texte clair, et position raisonnable et en même temps vigilante de l’APEL. En revanche, si les enfants scolarisés dans l’enseignement libre catholique sont protégés pour l’instant contre cette infâme propagande “queer” (merci à l’APEL d’avoir fait le distinguo avec l’égalité des chances entre garçons et filles, évidemment à rechercher), il n’en est rien dans le public. C’est là que les “comités de vigilance”peuvent être nécessaires.
Dugas de Baudan
Suis assez d’accord avec François. et d’ailleurs, la position décrite par l’Apel est conforme à ce qui est dit par E Monfort dans le cadre de LMPT. Il me semble aussi que LMPT préconise des approches par la discussion en particulier avec les associations de parents d’élèves ce qui est également ce que je lis. Témoignage personnel : le prof de SVT de mon fils en 1ière a annoncé qu’il ne traiterait pas du Gender. Soulagement.
Charles-Athanase
A bon, la lutte contre l’homophobie doit être clairement menée? Ben voyons, l’APEL s’occupe de tout pour vous, circulez, il y a rien à voir…
Eh bien si! C’est aux parents de veiller à l’éducation de leurs enfants, l’objet de l’école est l’instruction et non pas l’éducation. C’est aux parents que revient le rôle premier d’éduquer!!! Pas à l’école.
1ER APPEL A VIGILANCE: les écoles catholiques sous contrat distribuent aux parents des revues de l’éditeur MILAN avec proposition d’abonnement. Le même éditeur a fait l’objet d’un papier la semaine dernière sur le salon beige. Je suis allé sur leur site. Surprise: MILAN est un éditeur revendiqué cultivateur de morale LAIC. Copier le lien suivant et vous comprendrez: http://www.milan-ecoles.com/A-la-une/Milan-cultivateur-de-morale-laique
Et biensûr l’APEL n’a rien à y redire…
Vive les comités de vigilance! Réagissons, car même au sein de nos rangs, certains au non d’un discours dangereux laisse le cheval de Troie entrer dans les écoles catholiques.
François
D’où l’importance des chefs d’établissements dans l’enseignement catholique. Qui sont nommés par le directeur diocésain de l’EC, lui-même nommé par l’évêque. Conclusion: là où il y a de “bons” évêques, on devrait avoir de facto des “bons” directeurs diocésains et donc des “bons” chefs d’établissements. CQFD !
Fleur
Je ne comprends pas pourquoi les responsables de l’APEL craignent qu’on en fasse trop ou qu’on marche sur leurs plate-bandes.
Ce premier sentiment d’être de toute façon efficace TOUT SEUL, sans avoir besoin des avis ou de l’aide de quiconque qui ne serait pas issu de l’association, et ce second de croire que le terrain de l’école est chasse gardée sont stupéfiants et mal-venus, à un moment où les “cathos” doivent renforcer leur unité plutôt que de se faire des croche-pieds, s’entraider et se serrer les coudes plutôt que de se disperser et se diviser, pour mener une vigilance et des actions communes !
Cet esprit de chapelle, n’est-ce pas déjà de la graine de sectarisme ?
Maria
Il me semble que l’APEL aurait été bien inspirée d’unir sont action à celle des Comités de vigilance gender,car s’il faut séparer le pseudo bénéfique(égalité homme/femme)de l’inacceptable(la remise en cause de l’identité sexuelle)il sera difficile à un moment donné de définir ” une frontière” dans ce projet particulièrement pernicieux qui avance masqué..précisément sous l’alibi de l’Egalité.Gageons que les médias nous passerons bientôt en boucle tous les arguments nécessaires à l’apaisements des inquiétudes parentales.
Ben
Je suis tout à fait d’accord avec François. Cette déclaration n’est pas du tout inquiétante voir montre bien que le problème est pris en compte et que l’APEL est en accord avec la philosophie de l’enseignement catholique. Je trouve que le titre de l’article est très mal choisi voir manipulateur. On sent que celui qui a choisi ce titre ne doit pas apprécier cette association. Cela manque d’impartialité et je trouve cela dommage. Plutôt que la critique publique je privilégie l’action au sein des APEL. J’en profite pour dire qu’il est toujours plus simple d’aller dans une école hors contrat plutôt que de s’investir dans l’enseignement catholique. C’est un bon moyen de se déresponsabiliser. Car l’enseignement catholique a toujours besoin de personnes avec de solides convictions et pour qui le Christ est au centre de leurs vies.
[Cette déclaration est au contraire très inquiétante puisque elle consiste à endormir la vigilance des parents et à les déresponsabiliser en leur faisant croire que tout est sous contrôle, alors qu’il est flagrant que l’enseignement sous contrat connait de nombreuses carences sur le plan pédagogique et sur le plan de l’enseignement de la foi.
Quant à affirmer qu’il est plus simple d’aller dans une école hors contrat, c’est se moquer du monde. Car c’est dans ces écoles que les parents sont bien plus responsabilisés et c’est là qu’ils peuvent donner vraiment leur avis sur les méthodes pédagogiques. MJ]
e
Il ne me semble pas que l’apel ait eu par le passé une action si efficace que cela et si en accord avec les points non négociables de l’Eglise.
Il serait aussi intéressant de savoir combien de parents catholiques pratiquants ayant leurs enfants dans l’enseignement public, se reconnaissent dans l’apel (options de défense ou de combat, et réelles efficacités à part discutailler sur le nième réaménagement des rythmes scolaires, et le statu quoi sur le mamouth).
Mais mes questions manquent peut-être d’indulgence et de connaissance suffisante de la situation actuelle.
Sierra
L’Apel a t’elle peur de ne plus être en situation de monopole dans le privé ?
Finalement, les corps intermédiaires français détestent tous les initiatives citoyennes.
Le peuple doit rester éternellement “mineur” et assisté !
Bertin
Quelle naïveté et quelle inconscience de la part de l’APEL. C’est désespérant
C.B.
“faire progresser l’égalité entre filles et garçons”
Avant de vouloir faire progresser quoi que ce soit, il faudrait peut-être y regarder de plus près.
Qu’entend-on par “l’égalité entre filles et garçons”
S’il s’agit de “l’égale dignité”, oui, cent fois oui, et nous en avons l’habitude (ce n’est pas chez nous que la parole d’une femme vaut la moitié de la parole d’un homme; en revanche, c’est chez nous qu’on honore
-Marie, femme, reine des anges, et déclarée Sainte
-Geneviève, femme, meneur d’hommes, et déclarée Sainte
-Jeanne, femme, chef de guerre, et déclarée Sainte
-Catherine (de Sienne), femme, personnage politique influant sur des chefs d’états, et déclarée Sainte
-Hildegarde, femme, expert en sciences et en musique [et en théologie], et déclarée Sainte
…)
S’il s’agit de l’interchangeabilité, ce n’est peut-être pas à ériger en absolu: combien sont appelées à être chef de guerre?
Et si, dans les “années caté” on revenait un peu à la légende dorée, en la dépoussiérant: ces “amis de Dieu” dont nous portons le nom, ce ne sont pas que de mièvres moines et moniales confits en bondieuseries! Il y a là-dedans des gens à poigne, tant femmes qu’homme.
Jean
l’APEL n’a rien fait de significatif sur tous ces sujets. Elle se cache derrière les chefs d’établissements qui eux même sont prisonniers de professeurs qu’ils ne dirigent pas. L’APEL est complétement noyauté par des représentants sans convictions chrétiennes. Comme l’EC…. Il est grand temps de fonder une autre association représentative….
Jean Theis
Le texte de l’APEL n’est pas clair du tout. Cette association ne présente aucun intérêt, pire elle est comme un cheval de Troie.
Guigui78
@Ben
Le choix du hors contrat s’impose de fait quand plus rien ne differencie le public du Prive sous contrat (absence de cathechisme, absence de crucifix,…)
Realite dans nombre d’écoles pretendument catholiques: meme à Versailles….
Pour nous, nous preferons l’original gratuit à la copie payante pour les plus petits et le hors contrat pour les plus grands
Pour le sujet de l’APEL, je m’abstiendrai mais nous ne pouvons pas dire que son bilan soit globalement positif sur ces points non negociables(je precise qu’il y a de bonnes personnes partout)
Oleg
A l’Apel, les inconscients se nombrent à la pelle.
JEJ
Les APEL défendent avant tout leurs prés carrés.
K .
On peut pas mettre un comité de vigilance sur l’apel, directement? Comme ça, on ne marche pas sur leur plates bandes et on fait notre boulot.
BS
Pour répondre à Jean, on ne peut créer une autre assos de parents dans l’EC car il y a une charte signée entre Apel Nationale et Enseignement National….bref c’est noyauté. J’ai été un peu loin dans les Apel et lorsque lors d’une AG du nationale j’ai demandé pourquoi on parlait d’Apel et non d’Apec (Association parent enseignement catholique, j’ai été huée…) Comprenant pas mal le fonctionnement nul de l’Apel où bcp sont atteint de réunionnite aigüe pour sortir des trucs minables (si si) j’ai opté pour l’investissement dans l’école, à un poste clé, j’y fais rentrer du monde bien pensant et petit à petit on avance . c’est un travail bien modeste mais je pense efficace. Cdlt
NP
Effectivement, si l’APEL joue déjà un rôle de vigilance, il est assez logique de privilégier l’action des vigi-gender dans les établissements publics.
De toute façon, cette vigilance s’exerce d’autant mieux que les référents vigi-gender seront eux-mêmes élus représentants des parents d’élèves. Cette remarque s’applique autant dans le public que dans le privé. Pour renforcer l’efficacité de l’APEL, s’il en était besoin, il ne reste donc plus qu’à rejoindre leurs listes.
La position qui consiste à dénigrer, voire à boycotter tout ce qui n’apparaît pas comme “pur” est tout à la fois contre-productive et destructrice.
Concentrez vos efforts de critique sur ceux qui tentent d’imposer le gender, pas sur ceux qui essayent de faire de leur mieux.
jacky.a
“Concentrez vos efforts de critique sur ceux qui tentent d’imposer le gender, pas sur ceux qui essayent de faire de leur mieux.” @NP
Très bien…
affaiblir au maximum l’objectif..
c’est effrité…son environnement!
Lanne Elisabeth
L’égalité entre un garçon et une fille est une idiotie évidente : l’un est complémentaire de l’autre, mais c’est tout. Arrêtons de fantasmer sur cette pseudo-égalité qui n’existe pas pour nous concentrer sur la réalité !
pk
Il y a belle lurette que je m étonne de l inutilité totale de l apel
Dans une école prestigieuse de la banlieue parisienne, la seule action de l ‘ APEL est d organiser une soirée à thème ,très cucul, entre parents au mois de février !
Ah j oubliais , l ‘ APEL est le moyen dans cette école pour certains parents d’ accéder à toutes sortes de privilèges pour leur rejetons.
Meilleures classes ,favoritisme pour dossiers post bac, redoublements évités
etc…
Oeil de Lynx
Les APEL ne mettent jamais en garde contre quoi que ce soit SAUF contre LMPT…!
La ficelle est un peu grosse.
Au fait, est-ce que les APEL appellent à l’abrogation pure et simple de la (pseudo) Loi dite Taubira ?
Pour ce qui est de l’enseignement de la Foi dans les établissements dits catholiques voilà ce qu’en dit (avec juste raison) le Cardinal BURKE (cela vaut pour les APEL):
notamment:
Nous, catholiques, n’avons pas bien combattu parce que nous n’avons pas appris notre foi catholique, en particulier dans la profondeur nécessaire pour répondre à ces graves maux de notre temps. C’est un échec de la catéchèse à la fois des enfants et des jeunes qui a cours * * depuis cinquante ans * *. Ce sujet est abordé, mais il a besoin d’attention beaucoup plus radicale. Je peux dire cela parce que j’étais l’évêque de deux diocèses différents.
Après cinquante ans de cela, nous avons de nombreux électeurs adultes qui soutiennent les politiciens avec des positions immorales parce qu’ils ne connaissent pas leur foi catholique ni son enseignement à l’égard de l’attirance homosexuelle et le désordre inhérent des relations sexuelles entre deux personnes du même sexe. Par conséquent, ils ne sont pas en mesure de défendre la foi catholique dans cette affaire.
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/09/dénaturation-du-mariage-une-situation-diabolique-qui-vise-à-détruire-les-familles.html
Clovis
Lire ce bouillon tiédasse donne envie de vomir. Pas de convictions claires, mais une soumission révoltante aux dictats des laïcards. A quoi sert Apel si sur un sujet aussi fondamental il est prêt à discuter avec le diable!
Stephe
L’APEL pense pour vous chers parents ! Dormez en paix ! et bien non je ne délègue rien de ce que tout parent doit être responsable à tout moment : l’éducation de ses enfants, la confiance se mérite et ce texte des APEL est plus qu’inquiétant par ce qu’il révèle du fond de la pensée de ses dirigeants , pas de vagues surtout pas de vagues, c’est nous qui devons nous occuper de vous, Ben voyons avec le succès que l’on sait le “gender” arrive avec les bataillons et les gros sabots de peillon (préparé par Châtel) et il faudra bien des comités de vigilance pour pousser les APEL à réagir, là ou on voudrait ne pas faire de vagues !
hubert du plessis
Il faut savoir que l’APEL n’existe que par la volonté de l’Enseignement Catholique. c’est un moyen de faire adhérer les parents à la communauté éducative des établissements. Les statuts précisent que les associations qui s’y réfèrent ont pour objet, entre autre, de soutenir le projet éducatif de l’établissement. les responsables des APEL sont donc tenus par un Enseignement Catholique et des directions d’établissement qui définissent les marges d’actions de l’association. Rien n’oblige une direction à reconnaître et à entretenir des liens avec celle-ci si elle estime qu’elle ne respecte pas le cadre. Cela a déjà été dit, tout dépend de la direction, mais aussi des membres déjà en place qui sont plus ou moins enclin à traiter des sujets qui nous préoccupent.
je crois d’avantage à des groupes de parents se constituant en dehors des structures officielles et qui demandent à rencontrer la direction et pourquoi pas aussi l’APEL.
Cela a été fait l’an passé dans l’ancien collège de ma fille qui faisait intervenir le planning familial pour l’éducation à la sexualité (cas fréquent): une réunion a réuni, directeur, APEL et un groupe de parents en colère. Le directeur a reconnu que cela interrogeait et qu’il lui fallait reprendre le dossier. En cas d’échec on peut aussi envisager d’interpeller les DDEC (directions Diocésaines), voir les évêques aux quels les DDEC sont assujetties.
Il faut aussi savoir que l’Enseignement Catholique est pris dans un étau, entre les nécessités financières, des enseignants venant d’horizons très divers sur lesquels les directions n’ont pas autorité pédagogique et la volonté, par ailleurs, et qui semble sincère, d’affirmer son identité propre.
Reste enfin que le seul pouvoir des parents par rapport aux écoles c’est le choix de l’établissement, ce que permet l’école privée sous contrat, ou hors contrat, selon ses moyens financiers, par rapport au Public.
Oeil de Lynx
Cardinal Burke dixit:
“Nous, catholiques, n’avons pas bien combattu parce que nous n’avons pas appris notre foi catholique, en particulier dans la profondeur nécessaire pour répondre à ces graves maux de notre temps. C’est un échec de la catéchèse à la fois des enfants et des jeunes qui a cours * * depuis cinquante ans * *.”
Pour comprendre l’enchaînement des FAITS:
Jean MADIRAN, Histoire du catéchisme, 1955-2000, CONSEP, PARIS.
Dispo ici:
http://www.chire.fr/A-152327-histoire-du-catechisme-1955-2005.aspx
Indispensable !
ONLR JJJ
Notre présidente de l’Appel n’avait jamais entendu parler de la Théorie du Genre donc oui aux comités de vigilance !
Il vaut mieux être plusieurs à être vigilant plutôt que de compter uniquement sur l’Appel. L’union fait la force.
Ben
@MJ et @Guigui78.
Je maintiens clairement mon avis concernant le hors-contrat mais je le précise :
Plutôt que de partir de L’EC, engagez vous et donnez du temps pour le changer. Et plutôt que tout rejeter parce que cela ne rentre pas complètement dans votre schémas étroit de ce que doit être l’école de votre enfant, investissez vous et proposez des choses. Allez voir vos évêques.
En lisant les commentaires, l’APEL est un ramassis de suppôts de satan à la solde de la pensée unique. Comme d’habitude quand c’est excessif, c’est faux et dénote d’une analyse partielle et partisane. Oui il y a des choses qui ne vont pas, mais ne pas chercher à le changer en montant des écoles parallèles c’est lâche. Pour moi, la vie est un combat et laisser nos enfants dans une ambiance feutrés et bien normé ne les aident pas pour la vrai vie. Je ne dis pas qu’il faut les mettre dans des écoles de repris de justice mais ne pas vouloir les confrontés au monde alors que je conçois parfaitement que nous ne sommes pas du monde c’est refusé de les armer et les enfermer dans une autre pensée unique “catho comme il faut”. Mon style est un peu direct et je m’excuse par avance si cela choque.
[Vous avez tort car les deux systèmes sont complémentaires et s’i lfaut que des personnes s’investissent à l’intérieur du hors contrat, il faut aussi que des personnes s’investissent dans le hors contrat, afin de peser en interne et en externe. Le développement du hors contrat poussera en effet les sous-contrat à se réformer.
Il n’y a donc pas de “lâcheté”, terme tout à fait excessif.
MJ]
Ben
@MJ
Oui, je pense que vu comme cela je suis d’accord avec vous.
Je tiens à m’excuser car mon intervention, en la relisant à froid, n’est pas juste (en terme de justesse).
Merci pour votre site de ré-information qui permet, même si je ne suis pas toujours d’accord, et d’entendre autre chose que la bouillie unique de la pensée relativiste et mortifère de notre temps (de nos dirigeants…) et d’échanger sans être immédiatement catalogué.
Sophie
Un naïf ce nouveau responsable APEL? Ou un infiltré?? Un FM ? Les professeurs n’étant pas choisis par les directions catholiques je puis vous affirmer que des infiltrés sont dans les écoles catholiques.
Que se passe t-il dans les classes? Que disent certains professeurs à leurs élèves? Hélas certains font certaines promotions… Cessons la naïveté et surveillons livres et exercices donnés à nos enfants et surveillons les sorties et expositions proposées à nos enfants même jusqu’en Terminales!!
La LMPT a raison!
Discutez avec vos enfants et informez les. Ils doivent se méfier.
Créez des groupes pour le “cas ou” à tous les niveaux de classe et donnez un numéro ou les parents pourront vous joindre. Car quand il y a un problème on est seul sinon!!! (C’est déjà le cas hélas)
Et ATTENTION aux petits aussi (refusez l’éducation sexuelle à 6 ans!!!)et surveillez qui vient leur parler de sexualité! Sous prétexte de protection on démolit les jeunes. Surveillez qui vient leur en parler et comment. NOS ENFANTS SONT EN DANGER.
ONLR JJJ