Le maire contestait la propagande du gouvernement sur l'idéologie du gender :
"Un petit préalable d'abord : Jusqu'à très récemment (2011), je ne connaissais,
en ce qui concerne les sciences humaines, qu'un seul genre (le genre humain) et
deux sexes (masculin et féminin). J'ai alors appris qu'était apparue vers les
années 1950-60 au sein notamment de certains milieux LGBT et féministes la
notion de "genre". Cette notion, qui s'ajoute à celle de sexe, dissocie
le sexe biologique du "genre" (masculin, féminin ou autre…),
sorte de "sexe social", ou "identité sexuelle" qui serait
le fait de constructions culturelles et sociales et pourrait être différent du
sexe biologique. C'est précisément ce que l'on appelle la théorie du genre.Je ne ferai pas l'injure à l'élue que vous êtes de m'étendre plus avant sur
cette théorie du genre : vous la connaissez certainement et l'on trouve
quantité d'informations à ce sujet. Je dirai simplement que dans ses
développements, elle tend à nier les différences entre les hommes et les
femmes, et à prétendre que toutes les orientations sexuelles se valent.Actuellement,
elle inspire très clairement le gouvernement français dans ses politiques
de promotion de l'égalité homme-femme, de lutte contre les discrimination et en
matière d'enseignement, comme en témoignent les quelques éléments ci-dessous :
Le
"Programme d'Actions gouvernementale
contre les violences et la discrimination
commises
à raison de l'orientation sexuelle ou
de l'identité de genre". On peut difficilement être plus clair…Il y
est notamment question de "s'appuyer sur la jeunesse pour faire changer
les mentalités".Le
programme
interministériel sur l'égalité homme
femme. Il est imbibé de cette notion de genre (cité 7 fois et largement
développé). Entre autres il y est notamment indiqué, en matière d'enseignement
supérieur et de recherche: "Dès 2013,le genre constituera un axe
prioritaire des programmes «apprentissage » et « société innovante ».Ce programme a donné lieu à la signature le 7 février 2013 d'une Convention
interministérielle pour l'égalité entre les filles et les garçons, les femmes
et les hommes dans le système éducatif 2013-2018. Le genre y est cité 10
fois, de manière on ne peut plus claire. Il s’agit entre-autres de diffuser et vulgariser le concept de genre,
ainsi que de « former au genre » les professionnels intervenant
en milieu scolaire et petite enfance…Le programme gouvernemental "ABCD
de l'Egalité"
expérimenté cette année à l'école dans 10 académies dont l'Académie de
Bordeaux, et destiné à être généralisé en 2014-2015 à toute la France. La
volonté de « déconstruire des stéréotypes de genre » y est clairement
exprimée.Très concrètement, dans les écoles, voici ce que ça peut donner, selon cet
article de
Libération, publié précisément au moment où
vous m'accusiez de faire de la "propagande" et de la
"désinformation"…Et toujours concrètement, que dire de ce manuel "éduquer contre
l'homophobie
dès l'école primaire"
proposé par le SNUIPP-FSU, 1er syndicat d'enseignants en école primaire
? Un véritable manifeste pratique de la théorie du genre, très éloquent,
qui propose entre-autres de "déconstruire la complémentarité des
sexes" (titre de l'un de ses chapitres).A côté de tous ces programmes, voici ce que Vincent Peillon, Ministre de
l'Education Nationale déclarait
pour présenter son projet de loi de refondation de l'Ecole et d'institution de
la morale laïque : "il faut être
capable d'arracher l'élève à tous les déterminismes, familial, ethnique,
social, intellectuel, pour après faire un choix." Perspective
particulièrement inquiétante, quand elle est mise en regard avec tous les programmes
indiqués ci-dessus. Notamment quand la charte
de la laïcité précise qu''aucun
élève ne peut invoquer une conviction religieuse ou politique pour contester à
un enseignant le droit de traiter une question au programme". Quid
alors de la liberté de conscience et des droits fondamentaux des parents,
premiers et principaux éducateurs de leurs enfants ? D’ailleurs cette loi a failli inclure un amendement proposé par la député PS
Julie Sommaruga indiquant que les élèves dès l’école élémentaire devraient
suivre une « éducation à l’égalité de genre » ( à l'article 31 – amendement
adopté par l'Assemblée Nationale). Il
s'agissait, selon
Julie Sommaruga, « de substituer à des catégories comme le sexe ou
les différences sexuelles, qui renvoient à la biologie, le concept de genre qui
lui, au contraire, montre que les différences entre les hommes et les femmes ne
sont pas fondées sur la nature, mais sont historiquement construites et
socialement reproduites. » Certes, cet amendement a finalement été
rejeté, mais les exemples ci-dessus montrent qu'il n'est nullement besoin d'une
telle loi pour diffuser ce "concept" dans les écoles.Particulièrement intéressant aussi, le
rapport de l’Inspection Générale des Affaires Sociales de
décembre 2012 qui recommande que l’école s’engage dans la « lutte
contre les stéréotypes de genre » « dès le plus jeune âge »,
qu’elle déconstruise « l’idéologie
de la complémentarité » homme-femme pour « tendre vers une
société » égalitaire. A cette fin, ce rapport recommande
notamment aux enseignants de remplacer
les appellations « garçons » et « filles » par les termes
neutres « amis » ou « enfants », de raconter des
histoires dans lesquels les enfants ont deux papas ou deux mamans, etc. Il
s’agit, dit le rapport, d’empêcher la
« différenciation sexuée » et l’intériorisation par les enfants de
leur identité sexuelle.Pour l'école, citons ce très éloquent rapport
de l'IGEN sur l'égalité filles-garçon à l'école remis en mai 2013 à
Vincent Peillon. Ce rapport demande notamment
que « les stéréotypes de genre
soient déconstruits et mis à distance »,
notamment en primaire. On y perçoit très nettement la volonté de gommer les différences comportementales
entre les garçons et les filles.Tous ces programmes, initiatives et déclarations forment un cocktail explosif
d'intentions gouvernementales qui m'inquiètent vivement, et avec moi de
nombreux autres parents et citoyens. Pour ma part, en tant que père de jeunes
enfants, je m'oppose à ce qu'on les abreuve de discours issus d'une
théorie qui n'a aucun fondement scientifique tangible et qui peut s'avérer très
dangereuse dans son application. D’autant qu’ils ne relèvent pas du rôle de
l’école…Il est vrai que nous ne connaissons pas encore les détails de la mise en
pratique dans les écoles et crèches de ces programmes gouvernementaux
apparemment généreux. Mais les initiatives existantes,
bien souvent délirantes, ne peuvent que nous inciter à la plus grande
vigilance.La plupart des parents ne connaissent pas l'existence
de cette théorie du genre et encore moins les enjeux qu'elle porte. Quelles
seraient leurs réactions s'ils en connaissaient vraiment les tenants et
aboutissants ? Notre démarche consiste donc tout simplement à les informer, les inciter à s'informer par
eux-mêmes et les appeler à la vigilance. Il n'y a là aucune propagande ni
désinformation, mais simplement une saine démarche citoyenne d'information."
Estoc
Cette lettre et les références qu’elle contient sont extrêmement précieuses. Félicitations à ce père de famille pour son travail remarquable.
meltoisan
La théorie dite « du genre » n’a effectivement aucune base scientifique sérieuse. Elle n’a donc aucune légitimité à être enseignée.
Mais ne soyons pas trop inquiets et continuons notre lutte, nos combats sereinement.
Cette stupide théorie qui n’en est pas une subira le même sort que le stupide calendrier républicain avec ses sans culottides. Il ne survivra que quelques années contrairement à la bêtise de ses adeptes qui, elle, dure toute une vie…
Rappelons que le calendrier grégorien fonctionnait très bien depuis plusieurs siècles et qu’il était lui-même une amélioration du calendrier julien datant de l’époque romaine. Et il est des élites auto-proclamées qui prétendent savoir mieux que ce qui se construit peu à peu depuis des millénaires ? On connaît la suite : le calendrier républicain fut un feu de paille comme le seront, je l’espère, toutes ces lois iniques de l’ère Hollande dont on rira encore des siècles plus tard (Pauvre homme !).
Le genre humain et ses deux sexes bien différenciés sauf à de très rares exceptions qui confirment la règle est plus qu’une réalité. Cette fois, ce n’est pas depuis l’époque romaine mais depuis l’aube de l’humanité, les temps bibliques que cela a été constaté, étudié et jamais démenti de façon sérieuse. Hollande se croit-il plus malin que les révolutionnaires de 1792 ?
Seul à cette époque révolutionnaire , le système métrique (un vrai sujet scientifique) fit sens parce que d’une part il avait vocation à unifier des systèmes de mesures multiples et complexes mais aussi parce qu’il était issu d’une approche scientifique faite par des scientifiques sérieux. Ce n’est pas le cas des calendriers et encore moins des sexes !
perlin pinpin
pourquoi tout mettre en oeuvre pour gommer les différences fille garçon?
et si tout simplement notre corps évoluait
et si certans labo jouant avec les hormones savent que dans des dizaines d’années il y aura de plus en plus de garçon féminisé ou de fille masculinisé.
j’ai peut être trop d’imagination mais je me demande si on nous prépare pas doucement à une évolution liée aux médicaments, aux OGM, et autres molécules chimiques que nous avalons en permanence.
Anonyme
Je dois dire que l’image en page 57 du manuel “éduquer contre l’homophobie dès l’école primaire” proposé par le SNUIPP-FSU est assez parlante sur l’avenir de la famille en France :
“Il y a plein de façons de composer une famille” et on voit à la dernière image deux hommes + deux femmes !
En revanche on ne voit pas un homme + deux femmes + des enfants ce qui est pourtant le quotidien d’un certain nombre d’écoliers en France…
C.B.
“promotion de l’égalité homme-femme”
S’il ne s’agissait que de promouvoir une égale dignité, il n’y aurait rien à dire, mais vouloir nier les différences (qui n’entraînent nullement une supériorité de l’un par rapport à luuatre: une côtelette d’agneau est différente d’une grillade de porc, en quoi l’une serait-elle supérieure à l’autre?) et imposer l’interchangeabilité des sexes est un non-sens. Un garçon aura beau chausser des talons hauts, se maquiller, … il ne pourra pas se doter d’un utérus qui lui permettrait d’envisager de porter un enfant.
Maria
Le but de ce gouvernement infâme était d’introduire l’ idéologie du genre en catimini,à l’insu des parents.
Peillon et NVB s’abritent derrière l’égalité homme/femme pour faire avaler la couleuvre.Ce procédé est malhonnête,mais on peut être sûrs que dès l’apparition des premières conséquences graves…ils seront responsables mais pas coupables.Ces fous sont dangereux..éjectons les le plus vite possible et installons des politiques respectueux de la famille.Il est vital que cet enjeu soit clairement évoqué lors des campagnes électorales.
Mamisa
texte précieux, à diffuser autant que chacun le peut. Merci à ce père de famille.
chant
C’est tout simplement l’élimination de notre race…à l’école nos enfants seront perturbés et ne feront pas grand chose de bon…mais rassurez vous les petits français ont des travaux d’avenir, ménage,
nettoyage…ce que ne voudront pas l’élite
venue de certains pays qui respectent l’individu sinon, c’est la mort chez eux…
Nous sommes mis en esclavage, nous laissons nos enfants devenir des petits paumés et on se cache derrière des mots qui ne veulent rien dire…dans un hôpital un médecin a décidé d’éliminer quelqu’un parce qu’il en a envie et personne ne réagit, nous sommes devenus fous….
Tol
On ne dit plus maire, mais conseiller municipal n°1.
Logorrhée
Il ne reste plus qu’à fabriquer des êtres hermaphrodites…Que tous aient des seins et des utérus doublés de testicules et de verges…Et tous au même volume à la même taille avec une mesure de la libido fabriquée avec des pilules pour que tous prennent le même pied, aient le même nombre d’enfants tous aussi beaux et intelligents etc….Stop à cette illusoire égalité…C’est la mort de nos identités!
Yannh
“Déconstruire”. Cette novlangue – même si le mot existe, je n’ai pas vérifié – utilisée pour éviter de dire les choses comme elles sont. Déconstruire au lieu de démolir, disfonctionnement au lieu de faute grave ….
Anne Lys
Il faut insister sur le fait que les tenants de la théorie du genre la présentent comme « prouvée ». Or non seulement elle ne l’est pas, mais il est prouvé que le principal propagandiste de cette théorie, le Dr Money, psychologue au Johns Hopkins Hospital, n’a pas hésité à présenter comme un succès total et incontesté, « prouvant » la validité de cette théorie, une expérience qui a au contraire été un lamentable échec, détruisant plusieurs existences, et qu’il a continué à présenter cette expérience comme un succès pendant plusieurs dizaines d’années après qu’il a eu connaissance de son échec.
Stephe
De toutes façons ils nieront avoir mis en place le gender, devant l’évidence ils le nieront ! Car il ne faut pas inquiéter la masse et faire en sorte que le réveil soit si tard que tout en devienne irréversible. C’est cela leur politique endormir les gens ! Pour aboutir à leur seule raison d’avoir le pouvoir : détruire définitivement la société chrétienne ce qui est leur seul véritable objectif politique. Leur maitre à penser, bergé, dans un élan de rage s’est d’ailleurs sur ce point découvert à la radio.
Gisèle
Confiance , confiance , confiance !!!!!
Qui sera vainqueur ? Nous avons la foi ? Alors pas de panique ! Dieu a son heure , son plan est édifié depuis longtemps et ce ne sont pas de pauvres petits humains minables sous emprise de leur maître des ténèbres qui le détruiront .
Il faudra sûrement passer par des temps difficiles comme ceux de 1789 , ou pire , mais courage , nous arrivons au bout .
En attendant , ne nous lassons pas de prier Dieu , de toujours vivre dans son chemin d’Amour et de Vérité et de le louer pour tout ce qu’il nous donne .
Il faut savoir écouter , regarder , et repérer sa présence autour de nous et dans certains sourires , gestes , actions , services venant des autres …