Lu ici :
"Certains centres d’assistance “pro-vie” (contre l’IVG) pour les femmes désirant avorter avaient mis en place une véritable stratégie en ligne pour apparaître dans les premiers résultats des recherches Google sur l’avortement. Mais le moteur de recherche s’est engagé à retirer certaines publicités de ces “crisis pregnancy centers” (des “cellules de crise” pour les femmes enceintes) après qu’une enquête de NARAL Pro-Choice America, une organisation américaine qui défend le droit à l’avortement, a démontré que certaines annonces violaient la politique de Google en trompant les utilisatrices. “Nous n’avons rien contre ces cellules de crise qui font leur publicité sur internet, et nous n’avons rien contre leur existence.“, dit Illyse Hogue, présidente de NARAL. “Mais ces centres ne peuvent permettre aux femmes d’avorter, et ne devraient pas leur faire croire le contraire”, poursuit-elle. Dans ses règles de publicité, Google explique en effet que les annonces doivent être “honnêtes, précises et actualisées chaque fois qu’elles sont diffusées auprès des internautes“. […]"
C'est une inversion accusatoire : c'est la propagande en faveur de l'avortement qui est, le plus souvent, mensongère, en passant sous silence le meurtre de l'enfant à naître, les aides possibles pour la mère enceinte, et les conséquences de l'avortement sur la femme.