Voici quelques photos de l'église St Clément à Nantes, où la FSSP
exerce son ministère, ainsi que des inscriptions retrouvées ce matin sur les portes. Nous fêtons aujourd'hui la
présentation de la Ste Vierge au Temple.
Nous attendons la réaction des autorités, comme il se doit en pareille circonstance.
Gorr
ça sent le gauchiste
my
Parions que les “politiques” ne bougeront pas et que les chrétiens feront de même !!!
Ibidum
Ne relevons pas simplement “les grafitis” : il faut appeler les choses par leur nom, c’est une profanation.
trahoir
Il est certain que si les fonctionnaires chargés de surveiller et réprimer notre courant prenaient la peine d’arrêter les profanateurs ils tomberaient sur des bons petits blancs bien gauchisés. Avec des parents catholiques et bien à droite ?
Isabelle
La troisième photo démontre une homophobie latente chez ces taggeurs : traiter les gens de tradis, vraiment…
pique-à-sots
NANTES …Jules Verne qui pourtant était un visionnaire ,n’avait pas imaginé pareille descente vers les abîmes de sa ville !
il m’étonnerait fort que les édiles fassent entendre leurs voix …mais ce n’est pas de la prudence …non…non…de l’enrouement
uniquement !!
le chacal
Entièrement de l’avis de “my”.
Guy
A l’heure où l’on parle de supprimer la fessée cette profanation n’appelle qu’une seule chose : des baffes !
Jean Ferrand
Je suis un habitué de l’église Saint-Clément de Nantes. J’y vais tous les jours à la messe tridentine. Ces graffiti, je ne les ai pas vus. Ils ont été immédiatement enlevés par les services de la mairie. Il faut savoir qu’ils sont coutumiers. Notre église est particulièrement visée. Un centre d’homosexuels se trouve à proximité, sans qu’on puisse faire de lien certain.
Le clergé de la paroisse a pour politique de ne faire aucun cas de ces graffitis, sauf à les faire disparaître aussitôt. Et on la comprend. Il ne s’agit pas de mettre de l’huile sur le feu.
Personnellement je pense que ces graffiti sont le fait de déséquilibrés. Il ne faut pas trop leur donner d’importance.
Nous prions pour les auteurs.