Lu sur le blog de Jeanne Smits :
"Des médecins et des professionnels de la santé de toutes les régions du monde ont cosigné une lettre ouverte aux gouvernements réclamant la dépénalisation de l’avortement dans les pays qui le sanctionnent encore. Les 838 médecins de 44 pays ont confié leur demande à Amnesty International qui a publié leur lettre vendredi, au nom des « droits de l’homme »… […]
Le directeur exécutif d’Amnesty International Irlande, Colm O’Gorman, a déclaré : « La loi internationale est très claire : à tout le moins les femmes doivent avoir accès à l’avortement quand la grossesse représente un danger pour leur vie ou pour leur santé, dans les cas de malformation fœtale sévère ou mortelle, et dans le cas de viol ou d’inceste. »
Faux : aucune loi internationale, aucun traité international ne l’affirme. Mais cela fait partie des pressions exercées à l’ONU et ailleurs par des agences favorables à l’avortement sur les pays qui protègent encore la vie de l’enfant à naître."