La majorité et le chef de l’Etat multiplient les mises en garde contre les fausses informations et les dangers des réseaux sociaux. En connaissance de cause puisque la menace vient principalement des macronistes… :
Groupes privés, partages industrialisés, « cibles » désignées à la « riposte » collective, comptes anonymes démultipliés, faux profils, violence des propos… Depuis l’été 2018 et l’affaire Benalla, certains « marcheurs » qui peuplent les réseaux sociaux ont changé d’attitude : loin de la « bienveillance » préconisée par le chef de l’Etat pendant la campagne présidentielle, une partie de la Macronie numérique s’est durcie et convertie à des méthodes jusqu’alors pratiquées par d’autres acteurs du champ politique, notamment aux extrêmes.
Aurore Bergé, députée et porte-parole du groupe La République en marche (LRM) à l’Assemblée nationale, qui gère la « riposte » depuis la rentrée 2018, ne s’en cache pas : « On est le parti le plus attaqué, on doit être vigilants, on doit armer les militants à réagir. »
F. JACQUEL
En fait, ces bons marcheurs, dans un souci pédagogique, nous font voir ce qu’il ne faut pas faire…
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philippe paternot
est ce à dire que les macronistes qui distillent leur haine des gens qui ne pensent pas comme eux seront traduits devant les tribunaux?
DUPORT
Les milices fascistes “black bloc” et “antifas” du gouvernement sont elles punies ?
Alors pourquoi les militants Macronistes le seraient ?