Lu ici :
"L'hébergement d'urgence dans les hôtels vient d'être pointé du doigt dans un rapport. En théorie, cette solution est provisoire, mais la réalité est tout autre : cet hébergement peut durer des années. Dans les hôtels sociaux, on retrouve des familles en difficulté, logées ici par le Samu social. Une équipe de France 2 a rencontré l'une d'entre elles. Un couple géorgien avec un enfant qui habite dans l'hôtel depuis 2010, en attendant une éventuelle régularisation. Elle ne débourse rien. En effet, c'est l'État qui règle la facture.
En amont, l'organisme a négocié des ristournes avec le patron de l'hôtel. La chambre double passe de 65 euros à 30, assure Belaid Belharet, le gérant de l'établissement. Une manière pour le patron de remplir son hôtel toute l'année. Ainsi, pour 13 chambres, il reçoit près de 15 000 euros d'argent public chaque mois. Et chaque nuit, l'État paie une chambre à 30 000 personnes. Ils n'étaient que 11 000 en 2013."
Comme dirait Hollande : ce n'est pas cher, c'est l'Etat qui paie.
Jean Theis
Malheureusement l’Etat c’est ma poche.
yr
Quand je pense que des français dorment dans la rue et qu’on ne demande même pas 1 euro à ces gens qui débarquent ainsi.
Dans d’autres pays, le venue d’immigrants est régie par le travail : si l’on a des emplois pour eux ils sont acceptés MAIS ils ne viennent pas SE FAIRE ENTRETENIR EN FAMILLE il n’y a qu’en France que l’on voit cela. Il faut faire cesser ces dépenses et ceux qui en ont décidé ainsi doivent REMBOURSER l’argent aux contribuables.
Exupéry
Tout l’argent dit, “public”, provient de poches privées!
Jean-François
Ces logements dans des hôtels aux frais du contribuable (hé oui, M. Hollande, l’Etat est financé par les contribuables, ce n’est pas gratuit pour tout le monde !)sont pratiqués à grande échelle et à longueur d’années. Je l’ai moi-même constaté dans certains hôtels.
Arnaud C
Ce qu’il faut savoir c’est qu’en France quand un étranger dépose un dossier de demande d’asile, entre le moment où ce dossier est déposé et le moment où l’asile est accordé ou refusé définitivement cette personne est entièrement prise en charge par l’état. Compte tenu des lenteurs administratives et des recours cela peut durer des années.
Le plus étonnant, c’est que si jamais cette personne voit son statu de réfugié accepté, elle ne reçoit plus d’aide de l’état et peut se retrouver à la rue.
Je suis bénévole dans une association qui s’occupe de sans abris et je peux vous assurer que pour eux, qu’ils soient français ou étranger obtenir un logement est un parcours du combattant quasiment impossible à réaliser seul et très long avec l’aide d’associations. Par contre, pour un sans papier, à partir du moment où il arrive à déposer un dossier de demande d’asile complet (ce qui n’est cependant pas forcément facile) l’état lui trouve un logement dans la journée.
La France est pleine de “niches” privilégiées, même chez les sans abris…
pandanlmil
et comme l état c est nous c est nos impôts , toujours plus d impots !
on vous a demandé votre avis ? non
merci sarko , bidochon etc