Le Conseil d’administration de la Fondation pour l’école a nommé Hervé Rolland, ancien président de l’Association Notre-Dame de Chrétienté, actuellement Directeur Général chargé du Secteur industriel pour IBM Europe, comme nouveau Président de la Fondation, le 12 janvier 2021. Extrait du communiqué de la Fondation :
En charge du Secteur Industriel d’IBM Europe depuis fin 2015, Hervé Rolland était précédemment Directeur Général Délégué d’IBM France. Il a exercé au sein d’IBM des responsabilités variées, tant en France qu’en Europe ou au niveau mondial. Il a dirigé le service de presse d’IBM France pendant 6 ans avant de prendre des responsabilités opérationnelles. Avant de rejoindre IBM, Hervé Rolland a commencé sa carrière comme ingénieur à la DGA (Délégation Générale de l’Armement) puis chez Thomson Armements. Il a ensuite exercé la profession de journaliste pendant trois ans à l’Usine Nouvelle puis aux Echos. Hervé Rolland est né en 1957 (63 ans) ; ingénieur diplômé de l’École Centrale de Nantes, il est marié et père de 4 enfants.
L’engagement d’Hervé Rolland au sein de la Fondation pour l’école est directement issu de son expérience professionnelle.
Confronté comme tous les chefs d’entreprise au défi majeur des compétences et de leur maintien dans un contexte de concurrence mondiale accrue, Hervé Rolland est convaincu de la nécessité d’une rénovation profonde de l’éducation et de l’enseignement en France.
« L’éducation est une cause nationale à laquelle chacun doit apporter sa pierre ; cela commence par l’école primaire, clé de l’apprentissage des bases fondamentales. Pour répondre aux besoins futurs de la société et des entreprises, il importe d’aider à repenser l’offre éducative pour les générations futures en associant plus étroitement savoirs, savoir-faire et savoir-être ».
Hervé Rolland a confirmé la vocation de la Fondation pour l’école à soutenir la diversité et l’enrichissement de l’offre éducative en France, en s’appuyant sur ses trois missions historiques :
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le soutien technique, juridique et financier aux écoles indépendantes ;
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la promotion des initiatives pédagogiques innovantes et qui ont fait leurs preuves ;
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la formation des enseignants, via la formation diplômante de l’ILFM (Institut libre de formation des maîtres de la Fondation pour l’école), ou la formation aux nouvelles problématiques éducatives comme la question de la perturbation de l’attention dans un monde dominé par les écrans et les réseaux sociaux, la question de l’autorité, etc.
Willsdorff
Félicitations Hervé.
Michel Janva
Ah bon ? Il faut supprimer IBM ? C’est péché de travailler chez IBM ?
Michel Janva
Il vous faut être plus explicite :
“Si l’on devait trouver une raison politique de souhaiter le redressement de l’école française, ce serait en vue de l’émergence de générations d’esprits libres qui renverseront le monde-IBM.”