Un nouveau site vient de voir le jour afin de démontrer, arguments à l’appui, qu’un enfant a besoin d’un père et d’une mère pour se construire. Il s’agit de donner des arguments fiables afin d’aider tout ceux qui agissent en faveur des enfants à faire entendre leurs droits à une famille composée d’un père et d’une mère.
Rappelons nous que seuls 4 des 27 pays européens ont voté une loi permettant l’adoption par des couples homosexuels. On ne peut donc aucunement parler de "sens de l’histoire" et il est encore temps d’agir.
Bravo donc à l’association pour la protection de l’enfance pour cette initiative.
(Un système de veille est prévu afin d’informer tout ceux qui ont signé le manifeste d’un éventuel projet législatif dangereux pour l’enfant).
micol98
Oui mais qu’est-ce qu’un père ? qu’est-ce qu’une mère ?
Il est difficile de rentrer dans ce débat sans faire de la psychologie de comptoir. Dison qu’un enfant a besoin d’affection charnelle (une mère) et d’une autorité (un père), mais la question est ouverte de savoir s’il faut absolument une génitrice et un géniteur pour incarner ces fonctions !
L’adoption nous montre déjà que des parnets non géniteurs peuvent assumer ces fonctions.
Finalement, peut-être mieux vaut-il de bon parents homos à de mauvais parents hétéros ? (cf. la fille d’Emile Louis…)
Anonyme
Attention à ne pas faire d’erreur de logique!
Si vous comparez de mauvais parents hétérosexuels il faut les comparer à de mauvais parents homosexuels. De même si vous prenez l’exemple de bons parents homosexuels comparez les avec de bons parents hétérosexuels.
F.T.
alain V.
@ micol98
Il y a aussi qq exemples historiquement prouvés d’enfants élevés par des animaux sauvages : physiquement hommes, mais psychologiquement infra humains.
On peut avoir de ”bons ”parents homosexuels, mais la question est de savoir si une société humaine peut promouvoir un modèle biologiquement non humain, puisqu’incapable de transmettre la vie.
Les personnes qui ont eu de ”mauvais” parents souhaitent en général être de bons parents, donc avoir des enfants de leur chair, et les aimer comme ils ne l’ont pas été, et n’ont pas comme modèle idéal de parentalité les ”deux messieurs” ou les ”deux dames” vivant ensemble.
L’homme est un être de nature également : chez les animaux, il n’existe pas d’homosexualité parentale , et des cas de normes sexuelles dans la fidélité hétérosexuelle bien que rares. Mais chez l’homme il existe aussi la culture et la conscience de soi. Y compris dans la sexualité, contrairement aux animaux.
Donc le modèle de la troupe de lions, dans lequel les femelles et les mâles ne distinguent que partiellement quel rejeton est de quel parent, n’est pas humain, au sens le plus élevé, celui de la culture et de la conscience de l’individualité.
Dans ce sens la ”parentalité” homosexuelle est une régression vers l’animalité, une réduction de la responsabilité de chaque parent biologique en faveur du ”groupe”. Si les parents biologiques peuvent confier, avec l’autorisation et l’approbation de la société, leurs enfants à des appariements (je réserve le mot couple à l’union existant entre un homme et une femme) homosexuels, alors on réduit le rôle social et culturel de parent à une fonction biologique irresponsable.
Le cas des adoptions est déjà complexe : si la famille père et mère d’adoption, selon le modèle de la nature, a été préférée à l’orphelinat par la société, c’est bien par sa supériorité psychologique et culturelle. Y rajouter une régression ne sert en rien le modèle social humain si subtil et délicat à reproduire de générations en générations, et que nie l’homoparentalité au nom de goûts sexuels particuliers marginaux au sens sociologique.
ROQUEBERT
Il me semble que l’on ne devrait pas parler de ” hétérosexuel ” au même titre qu'” homosexuel ” comme s’il y avait possibilité d’un légitime choix possible moralement entre deux options égales.
Parler du droit d’un enfant d’avoir un père et une mère n’est-il pas un peu génant vis à vis des personnes seules ( veuvage… ) élevant des enfants avec courage ?
ALBAN