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Homosexualité : revendication du lobby gay

Homosexualité : quelques chiffres réels

L’Académie d’Education et d’Etudes Sociales vient de publier les Actes d’un colloque intitulé "Homme et Femme Il les créa", avec la collaboration notamment de Mgr Brincard, du Père Anatrella et de Christian Vanneste. Extraits de l’intervention du député, qui traite de politique de la famille, à propos de ce que l’on nomme "homoparentalité" :

"Il y a une querelle des chiffres. C’est un indice intéressant, cette querelle des chiffres. Pourquoi ? Parce que le groupe de pression favorable à l’homosexualité ne cesse de bombarder, grâce à ses nombreux et puissants relais dans les médias, le pauvre public français d’informations complètement fausses ! Mais qui finissent par s’imposer à force d’être répétées. C’est la raison pour laquelle, systématiquement, on vous dira qu’il y a 300 000 “familles homoparentales” en France. C’est complètement faux ! C’est un chiffre arbitraire qui a été calculé en faisant la moyenne du nombre d’homosexuels. […] Ce qui fait qu’on ne peut le faire que par extrapolation par rapport aux pays qui, eux, sont honnêtes ! Comme les Pays-Bas où on dit : voilà, chez nous il y a tant de couples homosexuels qui ont des enfants. Et donc, quand on fait cette extrapolation, que l’on repporte les chiffres hollandais de façon proportionnelle à la France, on tombe à 20 000, ce qui est quand même très éloigné. Il y aurait 20 000 “familles homoparentales”. […]

V [I]l y a une revendication très forte du groupe de pression homosexuel en faveur d’une reconnaissance familiale de l’homosexualité sous la forme du mariage homosexuel et sous la forme également de l’adoption homosexuelle. Ces revendications sont largement poussées. [et] totalement infondées. Totalement infondées pour trois raisons. La première, c’est que l’existence même de la famille est […] fondée sur la reconnaissance de l’altérité. […] C’est donc un renoncement à l’humanité que l’acceptation de l’homosexualité. […] Il y a ensuite, de façon beaucoup plus concrète, le fait que très peu d’homosexuels demandent ce genre de choses. Très, très peu ! […]

Et enfin, si maintenant vous regardez la manière de vivre des homosexuels, vous vous rendez bien compte que, statistiquement, ils sont très éloignés de l’image paradisiaque que l’on donne de deux hommes ou de deux femmes qui s’aiment comme un homme et une femme peuvent s’aimer. Ce n’est pas du tout ça ! Les chiffres sont même tout à fait épouvantables ! Pour 96% des homosexuels, par exemple, le comportement sexuel le plus évident, c’est la drague. C’est-à-dire : je vais me promener le soir dans le Marais et je cherche le “partenaire” d’un soir. La durée moyenne des couples, lorsqu’il y a couple ! Il n’y a pas forcément couple. Lorsqu’il y a couple, la durée moyenne est de trois ans. […] 61% des homosexuels ont trois unions en même temps."

Michel Janva

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4 commentaires

  1. Effectivement l’homosexualité se traduit siouvent par une grand instabilitédans les relations amoureuses. et cela tient essentiellement au fait que l’homosexualité relève d’une instabilité affective. Merci à M. Vanneste pour cette nouvelle prise de position courageuse, à quand la sortie définitive du giron de l’homophile UMP??

  2. Il y a un petit livre à ce sujet qui s’appelle “Ne deviens pas GAY, tu finiras TRISTE” aux éditions FX de Guibert.
    C’est un ex-homo qui raconte son passé dans ce milieu et… et… et c’est ça, quoi ! Instabilité, drague à gogo, les revendications de quelques uns pour les “droits des homos”,, etc.

  3. J’aime bien quand vous critiquez des chiffres peu sérieux, en début d’article, mais nettement moins quand vous écrivez “Pour 96% des homosexuels, par exemple, le comportement sexuel le plus évident, c’est la drague.” (sans explications sur la nature de l’étude ayant donné ce résultat).
    Sans savoir quel chiffre serait exact (déjà comment isoler la population de ceux dont le comportement sexuel est “la drague” ?) on se rend compte assez facilement que le nombre de personnes âgées, sexuellement à peu près inactives, est certainement significativement supérieur aux 4 % qui selon ce chiffre étonnant ne “dragueraient pas”.
    Bon quelle est la référence de l’étude d’où sort ce cocasse 96 %, me permets-je de demander ?
    [Mais avez-vous seulement lu l’intégralité de l’intervention de C. Vanneste, disponible en suivant le lien ? MJ]

  4. Le lobby gay n’a aucune représentativité… Sauf quelques excités et l’influence que certains parlementaires dûment cornaqués veulent bien lui accorder.
    C’est dire à quel point notre démocratie est malade !!!

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