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I-Média : Des services “secrets” à la rescousse de la Grosse Presse !

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Cette semaine, Martial Bild et Floriane Jeannin reviennent sur les millions d’euros d’argent public détournés pour contrôler l’information, les dérives sécuritaires qui étouffent nos libertés ainsi que les conflits d’intérêts au cœur du service public.

Le dossier du jour : Ce que les Français paient pour restreindre leurs libertés !

  • ARCOM : 50 millions € pour la “régulation” médiatique et l’autocensure des journalistes en plateaux
  • Surveillance Informatique Gouvernementale (SIG) : 14,1 millions pour “analyser” (et donc contrôler) l’opinion publique
  • VIGINUM : 7 millions € pour traquer “l’ingérence étrangère” mais AUSSI citons les : “le dénigrement des médias traditionnels pour attirer vers leurs alternatifs”

A travers ces trois exemples, une question : ces organismes servent-ils la démocratie… ou la censure ? Une chose est sûre, ces quelques 71 millions pour mieux vous museler sortent directement de vos poches !

L’image de la semaine – Fête de la Musique : Quand la liesse populaire devient une crise !

Ces derniers temps, chaque rassemblement populaire a fini par sombrer dans le chaos. La fête de la musique n’aura pas fait exception, sacrifiée sur l’autel de l’insécurité et de l’ensauvagement de la population avec plus de 300 interpellations et de nombreux débordements malgré plus de 6 000 membres des forces de l’ordre mobilisés à Paris.

Les pastilles de l’info :

  • 6 milliards € pour les JO de Paris 2024 : Le vrai coût derrière l’aveuglement médiatique
  • Jordan Bardella : La stratégie de la raclette
  • Nicolas qui paie : Un symbole viral et politique
  • Pierre-Edouard Stérin : Le milliardaire le plus attaqué par le service public
  • Léa Salamé au 20h de France 2 : Conflit d’intérêts ?
  • Delphine Ernotte sur Quotidien : La femme qui valait 4 milliards

Portrait piquant : Raphaël Glucksmann, l’homme derrière Léa Salamé… et les ambitions présidentielles 2027

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1 commentaire

  1. Nous n’avions pas ces organismes punitifs avant l’arrivée du Mozart de la perversité

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