Cette semaine dans “I-Média”, Jean-Yves Le Gallou et Lucas Chancerelle reviennent dans l’image de la semaine sur le clip de rap ultraviolent contre le RN promu par les médias.
Le dossier du jour constate l’alliance du système allant de l’extrême gauche à l’extrême centre pour empêcher Jordan Bardella d’être premier ministre.
Les pastilles de l’info abordent :
1) Macron, Baffie et L’agence tous risques !
2) Débat Trump-Biden : le fiasco démocrate
3) Un journaliste de beIN Sports licencié après avoir insulté les électeurs RN ?
4) Un nouveau Crépol occulté ?
5) Hollande et la gauche caviar
Pour conclure, le portrait piquant du jour en partenariat avec l’OJIM est consacré à Julian Assange, un portrait d’actualité puisque le courageux lanceur d’alerte vient d’être libéré !
AnneR
Une suggestion pour les candidats RN qui sont devant les inquisiteurs des plateaux TV mainstream…
Celle-ci n’est peut-être pas opportune ni stratégique, mais c’est elle que je serais tentée d’adopter si j’étais dans leur situation à propos de ce clip:
Faire la lecture de l’intégralité des paroles de cette « chanson » sans accepter d’être coupé (é) par le (la) journaliste faute de quoi refuser de continuer à parler mis à part la poursuite de la lecture du texte.
(Les gens ont besoin de voir, en vérité, les velléités sanguinaire totalement décomplexées de ces « anti RN »!)
Puis, dire clairement que le RN n’a jamais été au pouvoir, certes, mais que des communes françaises ont à leur tête des maires « RN » qui ont été élus, qu’ils sont parfois réélus, sans que les administrés aient voté avec un pistolet sur le tempe dans l’isoloir .
Dans ces mêmes communes, les citoyens qui se situent politiquement dans l’opposition ne sont pas menacés de mort à cause de cela ni insultés de la pire des manières.
Signifier que les menaces de mort de ce clip concernent Jordan Bardella notamment, mais aussi … les électeurs du RN dans leur ensemble par cette phrase:
“Si les fachos passent, je vais sortir avec big calibre. »
« Passer et sortir avec big calibre » c’est ce qui a été fait au Bataclan notamment.
Et enfin, questionner sur la nature du gouvernement macronnien qui a encore le pouvoir de faire appliquer la loi et qui n’impose pas immédiatement la censure sur une production dont la teneur délictuelle saute aux yeux.
L’appel au meurtre de qui n’épouse pas une idéologie, voilà un aspect caractéristique du faschime ,
l’Etat se tait et “qui ne dit mot consent.”
LE COMBLE: Parmi les premières images du clip on lit (enfin on hallucine) que tous les revenus générés par ce morceau seront reversés à …l’Abbé Pierre.
En matière d’ignominie, on peut difficilement plus talentueux.