Cette semaine dans “I-Média”, Jean-Yves Le Gallou et Lucas Chancerelle reviennent dans l’image de la semaine sur la manipulation autour d’un extrait trompeur tiré d’une conférence de Jordan Bardella devant les journalistes.
Le dossier du jour aborde l’offensive médiatique contre le RN qui se poursuit et le premier débat des élections législatives sur TF1.
Les pastilles de l’info aborderont :
1) L’affaire Divine et la propagande d’Envoyé Spécial
2) La bataille d’influence politique des grands patrons de presse
3) Julian Assange libéré : le deux poids deux mesures ?
4) Joseph Martin réhabilité après les calomnies de Libération
5) L’Arcom met en garde Sud Radio pour des propos climatosceptiques
Pour conclure, le portrait piquant du jour en partenariat avec l’OJIM est consacré à Marine Baousson, une figure médiatique de la propagande LGBT et de la promotion de la laideur.
F. JACQUEL
En 2017 et en 2022, tous les me(r)dias soutenaient le pâle toqué élyséen face à la résurrection de la bête immonde.
Aujourd’hui, la bête immonde arrive aux portes du pouvoir. Ce n’est plus le choix entre le Mozart de la finance et le chaos. C’est Jupiter ou la guerre civile. Donc les me(r)dias gardent leur ligne de “pensée”.
Pendant 7 ans, ils ont été gavés d’argent public. Ils protègent leur fond de commerce.
Nihil novi sub sole !
TuTux0743
Pertinente et judicieux constat clairvoyant, sauf pour la durée et l’ampleur du travail de sape de l’outil ou “Arme” merdiatique par destination ! Je puis témoigné fiablement depuis 1985, mais c’est, sans tenir compte de l’histoire qui est largement plus loquace sur le sujet et depuis des décennies !
colcombet
On peut comprendre les journalistes du service publiques inquiets qui s’acharnent contre Bardella car ce dernier – a juste titre – a décidé de les privatiser. Ils défendent leur planque.
Le Service médiatique publique devrait être neutre en fait c’est le plus politiquement à gauche.
C.B.
! “Vidéo non disponible
Cette vidéo inclut du contenu de France Télévisions Distribution, qui l’a bloquée pour des raisons de droits d’auteur”
Madame Anastasie sévit toujours?