L'enseigne de hard discount ED a été condamnée à verser 40 000 de dommages et intérêts à trois salariés licenciés pour avoir refusé de travailler le dimanche.
L'avocate des plaignants, Me Inès Plantureux, avait plaidé que l'obligation de travailler le dimanche n'était pas prévue dans leur contrat et qu'elle aurait eu des "conséquences majeures" sur la vie familiale de ses clients.
raphael charles
Il sera intéressant de voir si ED va trouver ce jugement hideux et faire appel !
http://cril17.info/
K.
Rappelez vous que *chaque fois* que vous achetez quelque chose le Dimanche, une vie de famille en souffre, personne n’est un électron libre. Et se mettre à dos les volontaires du travail le dimanche n’est pas grave en soi, forcer les gens à se poser pour se retrouver, c’est un bien.
Le marché après la messe?
Le litre de lait manquant?
La course rapide avant le ptit dej?
Qu’est-ce qu’on en a à foutre?!
nb: je vis cette situation, les clients ne viendraient pas (ie, en aurait qqch à foutre de la vie des autres), les liens sociaux se recréeraient.
l'aristo
Ca ne sera point la vie de famille le dimanche qui freinera l’exploitation exponentielle du libéralisme…