Les derniers mots du père Hamel furent : « Va-t-en, Satan, va-t’en ! ».
Les complices présumés de ses assassins — abattus par la police le jour de l’attentat — seront jugés en février et mars 2022 par la cour d’assises spéciale de Paris.
Le ministre de l’Intérieur s’est déplacé pour rendre hommage au père Hamel :
En ce jour, nous honorons la mémoire du père Hamel, lâchement assissiné par deux terroristes islamistes le 26 juillet 2016, dans son église de Saint-Étienne-du-Rouvray.
N’oublions jamais. pic.twitter.com/UDSZP4Llis— Gérald DARMANIN (@GDarmanin) July 26, 2021
Mais qu’a fait l’Etat depuis 5 ans pour nous protéger des islamistes ?
Ces neuf derniers mois, Samuel Paty a été égorgé à la sortie de son collège, trois paroissiens ont été assassinés dans la basilique de Nice, Stéphanie Monfermé a aussi été victime d’un attentat islamiste dans son commissariat…
Face à cette menace, le Parlement vient d’adopter définitivement, ce 23 juillet, le projet de loi sur la question du séparatisme. Ce texte contient des dispositions pour restreindre la liberté d’instruction…
Le 26 juillet 2016, à l’issue de la célébration de sa messe quotidienne, le #PèreHamel était égorgé par deux terroristes islamistes. Assassiné parce que prêtre catholique, son martyr nous rappelle que l’islamisme nous attaque et vise à l’effacement de ce que nous sommes. pic.twitter.com/rt0h7rd4CZ
— Nicolas Bay (@NicolasBay_) July 26, 2021