Etre "illettré" n'est pas une honte, sauf dans un pays comme la France, où le budget consacré à l'enseignement de la lecture et de l'écriture est aussi imposant. Une analyse intéressante :
"Emmanuel Macron, le rothschildien en charge de l’économie de la Hollandie n’avait pas été averti. Il est dans un pays où l’on ne peut rien dire, surtout pas des vérités en contradiction avec le politiquement et le sémantiquement correct.
Dans un pays où les voyous immigrés sont depuis 20 ans des "jeunes" et où il est interdit de dénoncer les terroristes d’Allah de l'Etat islamique en tant qu’islamique, il aurait dû se méfier sur le poids des mots et le choc des expressions. Dans un pays où les balayeurs sont devenus des « techniciens de surface » parler d’illettrés, c’est une insulte.Ce n’est certes ni adroit ni compatissant et ça fait beaucoup après les « sans dents » mais c’est surtout une insulte pour ceux qui dirigent un système d'éducation pseudo nationale obligatoire avec 80 % , et plus si besoin, de réussite au bac et qui forme des analphabètes, des incultes et des illettrés. Si la démocratie nécessite l’honnêteté et la connaissance comme l'aristocratie exigeait honneur et courage, entre les pourris et les incultes, on est mal barré. La première des formations continues, ce devrait être d'apprendre à lire et à écrire pour tout Français à l'école ou dans une entreprise." […]
La conclusion s'impose :
[…] "il y a pire que les illettrés, qui peuvent s’en sortir, il y a les autistes idéologiques, eux, perdus à jamais."