Interrogé dans Les Echos, Michel Sapin déclare :
"Ma préoccupation désormais, c'est de m'assurer qu'il n'y aura pas d'obstacles pour qu'elles [les banques] accompagnent la croissance à venir, en particulier celle des PME, une fois que le « déclic » conjoncturel que nous attendons aura lieu."
Les chômeurs attendent aussi ce fameux déclic.