Ivan Rioufol insiste pour que le gouvernement repense l'immigration :
"La crise globale oblige à repenser toutes les certitudes. Déjà, la "mondialisation heureuse" ne résiste plus aux tentations protectionnistes des États. En Grande-Bretagne, des ouvriers réclament la préférence nationale et rappellent la promesse du premier ministre travailliste, Gordon Brown, de donner "des emplois britanniques pour travailleurs britanniques". En France, Éric Besson, ministre de l'Immigration, reprend, lui, la litanie des bons sentiments en se félicitant (Europe 1, mercredi) de "l'immigration (qui) a enrichi la France" et du "succès de la diversité". Mais à l'heure où le chômage augmente, où le pays s'appauvrit, où les tensions identitaires s'exacerbent, n'est-il pas temps de poser de vraies limites aux immigrations de travail et de peuplement ?"
MJ
BOGOMIR
Il n’y a ni enrichissement culturel, puisque la plupart des immigrés n’ont que peu de culture (d’où le comportement de leur progéniture), ni bien évidement d’enrichissement économique (leurs économies sont transférées en Afrique).
Papon
M. Rioufol s’offre une bonne conscience sans frais, il sait pertinnement que son discours ne sera pas suivi d’effet.