Extrait d'un texte de Michel Nouaille-Degorce, publié sur Nouvelles de France :
"Notre Europe est devenue un aimant et attire à elle des centaines de milliers de « migrants », des millions mêmes probablement. Si elle reste passive, ces millions deviendront des dizaines de millions. Au nom de valeurs forts respectables, d’aucuns clament qu’il faut accueillir à tout va. Pour le chrétien, la question se pose de savoir comment réagir. À y réfléchir, la réponse semble donnée par cette parole rapportés par l’évangile de Luc (20-25) : Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. En notre époque où il est fréquent de tout mélanger, elles précisent fort exactement ce qui ressort du comportement personnel d’un disciple de Jésus-Christ, et ce qui ressort de celui de l’État, que le Catéchisme de l’Église Catholique définit ainsi en son article 1910 : » Il revient à l’État de défendre et de promouvoir le bien commun de la société civile, des citoyens et des corps intermédiaires ». […]