Interrogé, dans l’avion, sur la fermeture d’un centre d’accueil de migrants en Italie où des enfants étaient scolarisés, le Pape insisté sur la “complexité” du sujet et il a noté que
«les gouvernements doivent faire preuve de prudence parce que la prudence est la vertu de ceux qui gouvernent».
Ils se trouvent face à une «équation difficile» comme l’a montré l’exemple de “la Suède” qui a dû restreindre les flux d’entrée de migrants:
«C’est la prudence du gouvernement» et «il faut penser avec réalisme».
Le pape François a enfin pointé une autre face du problème, qu’il avait peu abordé jusque-là:
«résoudre le problème de l’immigration revient aussi à aider le pays d’où ils proviennent, chassés par la faim ou par la guerre. Investir là où il y a la faim, l’Europe est capable de le faire».
C’est donc «un problème complexe dont nous devons parler, sans a priori, en tenant compte de tous ces éléments”.

Classico
Et oui le pape n’est pas là caricature qu’en font certains détracteurs catholiques
Là où c’est plus embêtant c’est sur l’islam où sa position officielle est très discutable
VAUCENAY
Bonne réponse du Pape. Il semble qu’il ait enfin réfléchi un peu plus sérieusement à la question qui, effectivement est loin d’être simple.
EROUANI
Rien de nouveau!
Le pape François et ses acolytes sont familiers du double langage : beaucoup d’immigrationnisme la plupart du temps et parfois un peu de réalisme.
Aujourd’hui il était dans le second schéma.
Qui sait ce qu’il dira demain devant un autre auditoire?
philippe paternot
alors que les emplois non qualifiés se raréfient ils importent des gens qui ne pourront même pas trouver de petit boullot!
le rsa va exploser!