Dans son bulletin, Malliarakis démonte le mythe d’une "immigration choisie" :
"Cette immigration sera d’autant plus profitable, nous dit-on, qu’elle sera «choisie». (…) Et qui va «choisir» ? (…) Les gens de la Direction du Trésor, qui savent tout, ont ainsi évalué que la France a besoin «de sages-femmes, de charcutiers, de cadres du bâtiment et de personnes qualifiées». Je n’invente rien ! J’ai lu Le Figaro ! Je me plais seulement à imaginer les charters de sages-femmes importées directement du Honduras ou du Vanuatu. Car, sur 190 pays dans le monde, il en est nécessairement qui rêvent de nous refiler leurs excédents de sages-femmes. De même, comme le monde est bien fait, l’Ouzbékistan va nous envoyer, pour plaire à la Direction du Trésor, des cars entiers de charcutiers. (…) Cet habillage hypocrite, cette planification ridicule vise aussi à pomper les élites du Tiers-monde. On continuera à priver le Cameroun de docteurs en médecine que nous utilisons comme soignants de seconde zone dans nos hôpitaux. (…)
Si on observe en effet de plus près les «grands textes» qui ont prétendu, depuis 1945, encadrer légalement le séjour des Étrangers, on découvre en effet qu’ils ont abouti strictement au contraire des buts affichés. Ainsi, en 1974, on a prétendu «mettre fin» à l’immigration légale. Et on a ouvert une voie royale à l’immigration illégale régularisée et au «regroupement familial»."
grif
L’immigration dite “choisie” n’est qu’une manipulation de mots afin de faire croire aux français que l’immigration (en l’occurence facteur important de désordre en France) va baisser.Et ce pour rassurer les français qui commencent à en avoir marre de ne plus se sentir chez eux! Mais comme toutes les lois précédentes sur le “controle” de l’immigration, celle-ci ne sera encore que de la poudre aux yeux et ne comblera pas le soit disant “manque” de personnels compétants dans le monde du travail en france.
C’est l’immigration elle même, quelle soit légale ou non, choisie ou non, qu’il faut stopper entièrement, tout en inversant les flux migratoires.