Un article du très sérieux Lancet insiste sur la nécessité de l’accompagnement psychologique post-avortement. Monique Lecoufle, membre de la plateforme santé du FRS, propose une modification du livret du ministère, qui est en France à peu près la seule information donnée aux personnes qui vont dans les centres d’orthogénie. Elle propose d’y informer les femmes du risque de syndrome post-avortement.
MJ
Croan
Syndrome post-avortement
Un nom scientifique pour vouloir croire que cela peut se soigner comme une maladie!
On ferait mieux de parler de PRISE DE CONSCIENCE DU CRIME COMMIS. Et la, aucune drogue, aucun “soutien psychologique” ne vaut, sauf a enfermer plus encore l’assassin dans le mensonge et a rendre son réveil plus pénible encore.
texmex
S’il y a un “sdyndrome post-avortement” c’est bien parce qu’au plus profond d’elle même, la femme avortée sait bien qu’elle a tué son enfant et qu’elle est coupable d’une crime.
Le soutien psychologique chrétien est un chemin de guerison qui passe par la découverte de l’infinie miséricorde de Dieu.
Il ne faut pas oublier que si la femme est coupable, elle est loin d’être la seule! Aux USA (Elliot Institute)– et d’après ce que j’ai vu en FRance c’est pareil sinon pire ici — une très large majorité de femmes qui avortent y sont obligés par leur entourage. Le plus souvent par le père de l’enfant. Qui souvent n’hésite pas à tabasser sérieusement la future mère, et ce, justement au moment où elle est fragilisée.
Il était temps que les autorités commencent à informer un petit peu toutes ces jeunes femmes qui sont poussées à l’avortement sans être informées de tant de risques physiques et psychologiques qu’elles encourent.
Quid
Et “l’accompagnement psychologique” des serial killers, qui s’en préoccupe ?