Bien sûr, il est inacceptable de traiter qui que ce soit de « bicot » et plus encore lorsque c’est le fait de policiers dont la colère, compréhensible en elle-même, ne saurait être une excuse. Leur propos mérite donc une sanction disciplinaire.
Mais, il n’en est pas moins stupéfiant et scandaleux que l’injurié, doublement délinquant, puisque sans papiers et auteur de délits de vol, ait été précédemment libéré par le parquet de Nanterre alors qu’il était sous le coup d’un « OQTF » (Obligation de Quitter le Territoire Français).
L’injure a entraîné un très fort déferlement d’indignation médiatique. Peu après, l’attentat criminel perpétré à Colombes par le fanatique islamiste Youssef, ayant percuté volontairement deux motards de la police (grièvement blessés) et se réclamant de l’État islamique, n’a guère soulevé plus d’indignation.
En revanche, il a entraîné un flot d’enthousiasme sur les réseaux sociaux, significatif de la progression de la haine raciste antifrançaise dans certaines populations conquérantes revendiquant leur domination sur « leurs territoires ».
À l’évidence, le virus du corona n’a que trop occulté d’autres virus non éliminés à ce jour. Et notamment ceux de l’islam jihâdiste progressant sans cesse par une lecture littérale du Coran que l’on peut qualifier de « corano-virus » et qui se propage dans nombre de mosquées et autres lieux.
L’AGRIF charge ce jour ses avocats d’étudier la possibilité d’intervenir dans cette procédure.
Elle exprime ce jour, aussi, son total soutien aux forces de l’ordre et aux pompiers qui s’efforcent d’assurer la sécurité des Français, trop souvent, et de plus en plus, dans de véritables zones de non-France.
Pierre-Jean
Heureusement que nous avons l’AGRIF, dirigée avec hauteur par Bernard Antony. Beaucoup de français seront d’accord avec les prises de position de l’AGRIF, mais combien oseront le dire franchement : je vois dans la lâcheté une des grandes causes du suicide français.
gribouille
les injures racistes sont monnaie courante : écoutez donc les rappeurs qui chaque jour vomissent leur haine des français de souche, et Houria Bouteldja qui traite de sous-chiens les français de souche, on nous qualifie aussi de faces de craie……mais l’on prononce le mot de raton, cela devient un délit. La justice est très sélective, n’entend que les propos des uns , pas ceux des autres
obstinate944
Complètement d’accord avec cet article sauf sur ce point « la colère, compréhensible en elle-même, ne saurait être une excuse. Leur propos mérite donc une sanction disciplinaire. »
De mon point de vue, la colère justifiée des infortunés policiers est légitime et doit au contraire les excuser. La sanction est disproportionnée : ils n’auraient pas dû être suspendus pour si peu, un
« rappel au code de déontologie » était suffisant Puisque les pires malfaiteurs n’écopent en général que d’un simple « rappel à la loi ». N’oublions pas qu’ils ont repêché (et donc sauvé) le bicot !
philippe paternot
ils auraient donc mieux fait de le laisser se noyer
quant aux deux moterds renversés par un musulman au nom de l’état islamique, c’est à peine évoqué dans les médias aux ordres, que les chrétiens s’en souviennent avant d’aller voter
VAUCENAY
Oui, arrêtons de voir le racisme partout. A titre personnel, je connais une charmante parente (de plus de 80 ans) que toute la famille a toujours surnommée “BICOT”. C’est probablement elle qui, dans son très jeune âge, a déformé son prénom…Bref, si on me surnomme “blanc” ou “face de craie”, je n’en ferais pas une histoire, alors que c’est en général méprisant, voire insultant dans la bouche de celui qui prononce ces termes.
Le vrai racisme, selon moi, est de traiter différemment “l’autre”, par condescendance ou parce que, justement, on a peur de se faire traiter de “raciste” si l’on emploie certains termes que l’on emploierait pourtant volontiers avec des personnes de son acabit. Or, on voit souvent comment réagissent certains personnages d’origine non européenne – souvent très hauts placés – quand ils sont brocardés comme les autres : comme par hasard, ils prennent souvent un ton méprisant dans leur commentaire à ce sujet, terminant ledit commentaire par : “on sent un relent de racisme dans ce propos”, alors qu’il n’en n’est parobablement rien.
Je confesse m’être souvent comporté vis-à-vis de “certains” d’une manière différente par rapport à d’autres de mon acabit par peur de réaction désagréable : je suis donc raciste, mais pas au sens où on l’entend à tout bout de champ avec uns exagération certaine.