Ce que Libération appelle la « contre-offense massive des anti-IVG », c’est un groupe de 12 femmes, qui ont vécu une ou plusieurs IVG et sont venues témoigner devant des sénateurs et députés. Certaines disent avoir avorté en subissant des pressions fortes, notamment de la part du père de l’enfant ; or, la société ne les protège pas de ces pressions, voire les aggrave. D’autres se sont senties libres de recourir à l’IVG, mais ont réalisé a posteriori que la société leur avait menti sur l’IVG, qu’elles n’ont pas vécue comme une simple opération médicale. Enfin, aucune ne connaissait les alternatives à l’IVG, qu’elles auraient aimé pouvoir envisager. L’ECLJ a accompagné ce groupe à l’Assemblée nationale et au Sénat pendant une semaine, afin que les parlementaires entendent une réalité concrète totalement omise du débat politique actuel.
Mais les pseudos-journalistes de Libé, ne souffrant pas de se confronter au réel, n’ont pas osé aller interroger ces femmes. Et l’idéologie de l’avortement leur fait écrire n’importe quoi.
France Fougère
Line Renaud qui annonce en titre d’un long article dans Ouest France qu’elle est “une femme libre “. Pourtant dans ses Souvenirs, elle déplore d’avoir dû avorter de son mari dit Loulou ou bien d’un amant au temps de Las Vegas. Elle a regretté tout le reste de sa longue vie de ne plus pouvoir avoir d’enfant.
Voilà que maintenant elle milite pour l’auto-destruction, ou suicide aidé des plus faibles.