Le chef de l’Etat Giorgio Napolitano a annoncé qu’il a chargé le président du Sénat Franco Marini d’examiner "la possibilité d’aboutir à un consensus sur une révision de la loi électorale et (l’existence) d’un soutien à un gouvernement chargé d’une telle réforme". Il ne dissout donc pas le Parlement.
Cette mission paraît impossible à réaliser, les partis politiques discutant sans succès depuis des semaines d’une révision du mode de scrutin.
Silvio Berlusconi a menacé de faire venir à Rome des millions de manifestants si le pays ne retournait pas aux urnes immédiatement.