La vidéo est extrêmement choquante et symbolise tout le mépris des élites pour le peuple qui doit se soumettre aux règles sanitaires les plus folles.
Je rêve… pic.twitter.com/t6IbENsKbP
— Chancla Divine 🕊 (@Chancla_Div) December 11, 2021
Grégory Roose commente cette vidéo pour Valeurs actuelles :
“(…) Sa gestuelle, pointant du doigt la mal masquée, est terrible de mépris : « Le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont le pouvoir et ceux qui portent un masque. Toi, tu portes un masque » semblait-elle signifier (…)
Cette scène n’est que symbolique, mais quel symbole ! Celui d’une élite toute puissante qui s’affranchit des contraintes qu’elle impose au peuple, ou plutôt à la population, ainsi qu’elle le nomme, terme froidement démographique volontairement dénué de toute charge émotionnelle. Cette nouvelle saynète tragi-comique vient compléter la longue liste des symboles d’iniquité devant la contrainte sanitaire qui inondent nos écrans : ici, des ministres participant sans masque à des rencontres mondaines, là, une réunion du G7 au cours de laquelle des chefs d’Etat non masqués font fi du respect des gestes barrières qu’ils imposent pourtant à la population, là encore, un président de la République qui embrasse et sert la main de ses nombreux interlocuteurs. Plus récemment, le secrétaire d’État chargé des Affaires européennes, Clément Beaune, cas contact du Premier ministre, avait fait disparaître des réseaux sociaux une photo dans laquelle, non-masqué, il ne respectait pas les « gestes barrières » (…)
Dans un contexte de censure croissante de la parole critique sur les réseaux sociaux, de la toute-puissance de l’oligarchie médiatique et de diabolisation du discours divergent à la pensée unique, le masque peut apparaître symboliquement comme un bâillon sanitaire imposé à tous. Presque tous. Dans le monde d’après, le vaccin est devenu le symbole de notre liberté conditionnelle et le masque, celui de notre asservissement.”
Bernard Mitjavile
Je suis depuis longtemps impressionné par Attali, pas par sa supposée intelligence mais par sa prétention ridicule et suis content de voir que pas mal de gens partagent aujourd’hui mon avis.
Antigone
Je n’ai aucune sympathie pour cet homme, bien au contraire, mais en l’occurrence demander à son interlocutrice de remonter son masque sur son nez, a pour résultat de la protéger elle contre ses postillons à lui.
Je suis cependant d’accord que si vraiment il souhaitait ne pas exposer ses interlocuteurs il aurait dû porter un masque lui-même.
VIVANT
Jacques Attali porte déjà un masque dans le salon où l’on cause, il est invisible, c’est celui de la personne imbue de sa personne. Il est ridicule Jacques et nous devons lui sonner les mâtines, jour et nuit. Proposons-lui un peu de prière à genoux avant un bon cours de théologie pour indiquer au ‘savant’ que Dieu passe par l’humble ‘petit reste’ avec amour et croix.
F. JACQUEL
HÂTE-À-LIT étant un des organisateurs de cette tyrannie “sanitaire” connaît parfaitement l’inanité de celle-ci, mais ne rate pas une occasion d’en rajouter. Comme il ne parle plus de ses préconisations euthanasiques des années 80 pour les plus de 65 ans. Né le 1er novembre 43, il avait alors une quarantaine d’années. Il vient d’avoir 78 ans.
Ceci explique cela.
Chouan85
Les journalistes sont vraiment soumis. S’il m’avait parlé comme cela, la machine à claques se serait emballée!!!
VIVANT
Moi je l’aurais ‘baffé’ en coupant le micro et en partant.
Gilles Tournier
Voilà exactement le genre de statue que j’aimerais voir déboulonner de son piédestal, conscience haineuse de l’anti-France, pourri d’orgueil et de fatuité. Le voir me donne la nausée.
Morin
Cette provocation est sûrement volontaire, sachant qu’elle sera reprise par nous.
Assimiler les réserves sur le port du masque, qu’il ne porte pas, et laisser la presse serve lancer des insinuations pour les assimiler à des antisémites est régulièrement utilisé pour victimiser les uns et diaboliser les autres.
ODE
il est plus choquant de voir des institutions catholiques se plier à cette soumission.
Dans ces établissements, des directeurs n’hésitent pas à mettre des heures de colle pour un masque mal mis.
Dans d’autres, on sélectionne les vaccinés pour ne proposer qu’à eux seuls des retraites de Noël, marchés de Noël, voyages scolaires.
Cela m’affecte profondément. Je me demande où sont St Vincent de Paul et St François d’Assise dans ces agissements.
C’est ni plus ni moins que de la ségrégation, pleinement assumée.
Cela dans des établissements bien catholiques.
La servilité est déjà là. L’Amour n’y est plus.
Alors que nous devrions être une vague de Charité qui emporterait sur son chemin un triste monsieur comme lui.