Partager cet article

Culture de mort : Avortement

Je ne vois pas au nom de quoi il faudrait attendre de savoir si l’enfant pouvait avoir respiré

Je ne vois pas au nom de quoi il faudrait attendre de savoir si l’enfant pouvait avoir respiré

In L’Heure des pro of February 14, Georges Fenech returns to the murder of the unborn child during the accident caused by Pierre P almade:

In the program of the 15th, Georges Fenech returns to this subject (from the 9th minute):

Partager cet article

4 commentaires

  1. La médecine a répondu que dès la fécondation il y a un être humain biologique, que la philosophie appelle une personne et que le droit naturel reconnaît comme homme et défend de tuer, et que la Révélation reconnaît créé à l’image de Dieu, racheté par Jésus-Christ et appelé à la vie éternelle avec Dieu; la Révélation divine et la Foi confirment le 5e commandement “tu ne tueras pas” déjà connu à la lumière de la loi naturelle c’est-à-dire par toute conscience humaine. Tout cela saint Jean-Paul II l’a admirablement présenté.
    Ne peut-on penser que le petit embryon mort dans l’accident est l’le sujet particulier de la Miséricorde infinie de Dieu, car il est mort quelque part martyr… en mépris et haine de la personne humaine – et culte du démon – de la part du responsable de l’accident (cf. la pensée de saint Jean-Paul II sur le salut des enfants délibérement avortés qui sont martyrs, comme les juifs des camps, et pour la raison de meurtre en haine de la personne humaine)

  2. Horrible argutie qui se prétend juridique pour essayer de faire cohabiter la légalisation de l’avortement et l’indemnisation des victimes. Le législateur sait parfaitement que l’avortement est un meurtre, il faut donc l’habiller d’atours hypocrites pour gommer la mauvaise conscience de la mère et occulter cette grave atteinte à la loi naturelle.
    Ces deux dispositions légales contradictoires dans leurs principes destructurent la cohérence des bases mêmes du droit.

  3. Très agréablement surprise par Georges Fenech qui a osé rappeler une affaire du même acabit qu’il avait instruite, expliquant qu’il avait voulu se rendre compte lui même ce qu’était un fœtus de 5 mois, et qu’il avait constaté que le petit être décédé était bien un enfant, sans aucun doute. C’est la stricte vérité mais je l’ai trouvé courageux de le rappeler.

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services