Communiqué de Jean-Frédéric Poisson :
"Depuis des semaines, mon attachée de presse est en contact avec les équipes de France 2, qu'elle a du solliciter par elle-même alors que tous les candidats à la primaire se sont vus proposer soit une participation à l'Emission politique, soit un passage au Journal de France 2.
Après plusieurs prises de contact, mon équipe s'est vue confirmer un passage au JT de France 2, "bien sûr, comme tout le monde".
Après plusieurs semaines sans nouvelles, ce passage sur France 2 s'est transformé en passage sur le 19/20 de France 3 sans explication. Et le jour-même de mon passage, cette invitation est devenue une invitation sur Soir 3 à 23h pour 4 minutes de temps de parole !
Mon départ du plateau de France 3 hier soir visait à dénoncer un traitement médiatique totalement inéquitable à l'égard de ma candidature, et irrespectueux des personnes qui me soutiennent, qui veulent voter pour moi ou qui souhaiteraient mieux connaitre mon projet pour la France. Je suis candidat à cette primaire au même titre que les autres, et je tenais à dénoncer ce système médiatique qui décide qui a le droit d'avoir la parole et qui n'a pas le droit.
Cette exclusion en règle de ma candidature révèle une volonté de me faire taire, de faire taire une partie des Français : cela, je ne peux l'accepter. Je représente une droite sociale et conservatrice trop oubliée, une partie des Français trop oubliée. Nombre de Français sont aujourd’hui ont le sentiment de n'être représentés par personne. Et ceux qui veulent les représenter n'ont que très peu de possibilité de s'exprimer ! La démocratie ne doit pas être confisquée par les sondages et la partialité de certains médias.
Partout dans les sociétés occidentales le peuple reprend sa souveraineté. A force de museler le peuple, c’est par la colère qu’il s’exprime. J'ai choisi d'exprimer la mienne hier."