L’extrême-gauche, cette vieille amie de la liberté d’expression… :
Ce jeudi 13 novembre, Jean-Frédéric POISSON, président de VIA | PARTI CHRÉTIEN-DÉMOCRATE, se rendra à Toulouse. À l’invitation de l’association apartisane le Parlement des Étudiants, il devait participer à un débat filmé sur la légalisation de l’euthanasie face au responsable toulousain de l’ADMD, association militante pour cette pratique. Il était prévu que ce moment de confrontation d’idées soit suivi ailleurs d’une conférence sur la crise politique et institutionnelle que traverse notre pays, se tenant comme d’autres conférences organisées précédemment par cette association étudiante (Lionel Jospin, Louis Boyard, Nicolas Dupont-Aignan …) dans les locaux de l’Université Toulouse Capitole 1, avec l’accord de la direction.
Mais en quelques jours, le scénario a viré à la caricature du déni démocratique : le débatteur pro-euthanasie s’est désisté sans proposer d’alternative, esquivant la confrontation intellectuelle. Plus grave encore, la direction de l’Université a finalement empêché la tenue de la conférence à l’université, sur un prétexte technique peu crédible. Les organisateurs ont pris leur disposition pour la maintenir au Grand café le Florida (place du Capitole à Toulouse).
Une décision injustifiable et inquiétante
Comment un homme reconnu pour sa tempérance, ses valeurs humanistes et son ancrage chrétien-social, peut-il être écarté d’un lieu universitaire censé incarner la liberté de pensée et le débat d’idées ? Cette décision arbitraire, fondée sur des préjugés idéologiques, marque une nouvelle étape dans la censure politique qui gangrène nos institutions.
La démocratie confisquée
Ce nouvel épisode illustre la dérive d’une société où le pluralisme d’opinion est remplacé par la peur de la contradiction. La France se voit prise en otage par des minorités militantes qui imposent leur idéologie en étouffant toute voix divergente.
VIA | PARTI CHRÉTIEN-DÉMOCRATE dénonce fermement cette atteinte à la liberté d’expression et rappelle qu’aucune démocratie ne peut survivre sans débat.
