La lettre du père à sa fille pour une affaire picrocholine est à lire. Elle montre à quel point la liberté d'expression est restreinte dans ce pays :
"Vous me faites grief de n’avoir pas anticipé les éventuelles attaques dont je pouvais être l’objet, autrement dit, de ne pas m’être appliqué, une censure préalable volontaire comme dans les pays totalitaires."