Comme on peut lire sur le site officiel du Ministère de la Culture et de l’Héritage National,
« le Ministre de la Culture et le Vice-président du Conseil des Ministres du gouvernement de Pologne a fait ses adieux à Jean Raspail, un grand écrivain, un courageux Français et un vrai Européen. »
« C’est avec beaucoup d’émotion que nous avons appris le décès de Jean Raspail, grand écrivain, qui fut le porte-parole, l’avocat et le défenseur de notre culture et notre civilisation » – écrit professeur Piotr Glinski, Ministre de la Culture dans sa lettre à Mme Raspail.
A défaut d’avoir le moindre geste du ministre français, voilà un ministre de la culture qui promeut autre chose que les tags, la culture arabe ou drag queen… :
Jean Raspail est un écrivain populaire et apprécié en Pologne. Parmi ses oeuvres, neuf y ont été publiées, dont Le camp des saints, Moi, Antoine de Tounens, roi de Patagonie ou L’anneau du pêcheur. C’est en Pologne que son dernier livre, La Miséricorde, a eu sa première. Par ailleurs, dans les mois à venir, ce livre sera présenté au public sous forme d’un spectacle de théâtre. Bientôt, les lecteurs polonais auront aussi le plaisir de lire son reportage du voyage que l’écrivain a fait il y a des années en Amérique, intitulé En canot sur les chemins d’eau du roi.
En Pologne Jean Raspail a un groupe de lecteurs fidèles et dévoués. Ils l’ont soutenu, entre autres, par leur prière pendant sa maladie et en demandant des messes pour son intention le jour de ses funérailles. Sa mort a été rapportée par plusieurs médias principeaux, à savoir la télévision et la radio publiques, ainsi que des hebdomadaires et des sites d’opinion.