L’éditorialiste exclut le vote Royal.
Nous avons donc le choix entre le vote Sarko et le vote blanc, qui comportent tous deux des inconvénients majeurs.
- Le vote Sarko, pour barrer la route à un retour au pouvoir de la gauche : mais la droite au pouvoir, et Sarko lui-même, sont aussi nuisibles que la gauche sur des points non négociables, avortement, homosexualité, soi-disant égalité des chances, prétendue lutte civile permanente contre toute discrimination, consentement actif à l’installation de l’islam en France.
- Le vote blanc, pour ne cautionner personnellement aucun des deux partisans du « oui » à une Europe supprimant l’autonomie de notre Etat-nation ? L’inconvénient du vote blanc est d‘être sans portée, non pas du fait d‘être assimilé au vote « nul », mais parce qu’il lui manque aujourd’hui d‘être revendiqué, représenté, assumé par une autorité morale, politique ou religieuse qui ferait valoir sa signification.