Voici la Une de l’hebdomadaire américain “The New Yorker” pour présenter les Jeux olympiques :
Voici ce qu’écrit The New Yorker :
En tant qu’hôte des Jeux olympiques d’été de cette année, la France espère que les compétitions et les festivités seront l’occasion pour le pays de capitaliser sur sa riche culture. Dans sa première couverture pour le magazine, l’illustrateur Paul Rogers présente les personnages bien-aimés des films « Monsieur Hulot », créés par le cinéaste et acteur français Jacques Tati, comme une incarnation durable de l’esprit du pays. « Pour ne pas penser aux élections américaines, j’ai imaginé que Monsieur Hulot apporterait la flamme olympique à Paris », explique Paul Rogers.
Les étrangers risquent d’être déçus :
Voici les premières images de la chorégraphie officielle de la mascotte des JO de #Paris2024
Les crétins ont de beaux jours devant eux. -30 sous l’échelle du vide, et de la bêtise.
une chorégraphie de maternelle. Pathétiquement naze. à vomir. pic.twitter.com/amBjnYSLto— Îci la voix ! . 🌈♿ (@platinium230) July 21, 2024
🇫🇷 “Ceci n’est pas une parodie” : la prestation de la chanteuse Arielle Dombasle pour l’arrivée de la flamme olympique à Paris est vivement critiquée sur les réseaux sociaux. (X) #Paris2024 pic.twitter.com/b0HiFm0uyt
— Mediavenir (@Mediavenir) July 15, 2024
Collapsus
Comme au bicentenaire de la révolution, nous allons avoir droit à l’habituel défilé de vieilles peaux sorties du placard à fourrures, aux guignols reconvertis en E.T., aux martiens transgenres enguirlandés, à l’échantillonnage modèle de la diversité raciale, aux robots fluos et autres sapins de Noël à roulettes, tout un bric-a-brac dégoulinant de mauvais goût sorti des vide-greniers de la boboterie parisienne devant lequel s’exaltera avec délices la fine fleur des envoyés spéciaux de nos medias wokistes.
Voilà à quoi sera réduite notre pauvre France aux yeux du monde entier. Quelle pitié …
Meltoisan
Nullissime, prétentieux, inesthétique, de mauvais goût … Mais où va la France ?
Heureusement qu’ils ont trouvé Arielle, cette jeunette de 71 ans … qui lave plus blanc.
À Paris :
1968 : « Sous les pavés, la plage ! »
2024 : « Sur les trottoirs, les cages ! »
France Fougère
Le bicentenaire, pas regardé. Mais j’avais croisé la maîtresse bourgeoise bobo de Mitterrand, au summum de l’excitation, vêtue d’une longue jupe tricolore, d’une camisole façon ” tricoteuses ” . Il ne lui manquait que le bonnet phrygien.
Pour le centenaire, les aristocratiques Frères Goncourt qui veneraient la Reine Marie – Antoinette, avaient fait représenter leur pièce “la Patrie en danger “.