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Homosexualité : revendication du lobby gay

Journée des droits de l’enfant : un enfant a d’abord droit à un papa et une maman

Communiqué du collectif pour l'enfant (qui regroupe 76 associations):

"La Cour de Cassation vient de saisir le Conseil Constitutionnel sur la question de la conformité à la Constitution du mariage défini comme l’union d’un homme et d’une femme. Ceci est quelque peu surprenant alors que ses arrêts ont toujours été fidèles à l’esprit du Code civil, à savoir que le mariage ne concerne, pas définition, qu’un homme et une femme. Le Collectif pour l’Enfant, soucieux de l’intérêt de l’enfant, est confiant dans le fait que les Sages du Conseil Constitutionnel sauront rester fermes sur le sens du mariage tel qu’il existe dans notre pays. Le Conseil constitutionnel vient en effet de rappeler que « la différence de situation entre les couples mariés et ceux qui ne le sont pas pouvait justifier, dans l'intérêt de l'enfant, une différence de traitement » (décision du 6 octobre 2010).

Précisément, le 20 novembre, la France célèbre la Journée des droits de l’enfant, et il n’est pas inutile de rappeler qu’un de ses droits est de connaître et d’être élevé par son père et sa mère. Admettre un mariage entre personne de même sexe serait contraire aux droits de l’enfant puisqu’il aboutirait tôt ou tard à la création d’une filiation artificielle à l’égard de deux hommes ou entre deux femmes. Réaffirmer que le mariage c’est l’union d’un homme et d’une femme n’est pas contraire à la liberté garantie par notre Constitution. Car, l’Etat n’a pas à s’immiscer dans les choix personnels des individus. Au contraire, l’Etat doit garantir la cohésion et la stabilité de la famille et de la société par le mariage entre un homme et une femme qu’il doit non seulement réaffirmer mais, encore, promouvoir comme structure adéquate pour le développement harmonieux des enfants."

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1 commentaire

  1. La question ensuite si ce texte passe concernant le mariage homosexuel, sera de dire si l’Eglise est en phase avec la Constitution pour le cas ou elle refuserait une telle pratique.
    Nous verrons alors s’opposer le droit civil et le droit religieux, ce qui est cerainement recherché.
    Il est évident que le mariage ne peut être un acte civil adoubé par des avantages fiscaux : il est une démarche de liberté religieuse.

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