Le député sortant de la 1ère circonscription de Nice (UMP ayant rejoint Philippe de Villiers lors de la présidentielle) ne pensait pas affronter un candidat UMP, Eric Ciotti, parachuté au dernier moment :
"il espérait que Villiers, rallié à Sarkozy entre les deux tours, demanderait au président le « pardon » de Rivière ; or, Villiers l’a laissé choir".
MJ